- Et si la forêt est totalement détruite, si la ville est gravement humiliée, - Lire dans le contexte
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- Et je prendrai le droit comme mesure et la justice comme niveau. Mais la grêle balaiera le refuge de mensonge et les eaux inonderont la cachette ;
- Voici un homme fort et puissant au service du Seigneur, comme une tornade de grêle, une tempête dévastatrice, comme d'énormes trombes d'eau qui se déversent, de sa main il les jette à terre.
- C'est lui qui a précipité les habitants des hauteurs, la cité élevée ; il l'abaisse, il l'abaisse jusqu'à terre, il lui fait mordre la poussière.
- Yahvé fera entendre la majesté de sa voix, il fera sentir le poids de son bras, dans l'ardeur de sa colère accompagnée d'un feu dévorant, de la foudre, d'averses et de grêlons.
- Gémis, genévrier, car le cèdre est tombé, car les majestueux sont ravagés. Gémissez, chênes de Bashân, car elle est abattue la forêt inaccessible.
- Je me lèverai contre eux, oracle de Yahvé Sabaot et je retrancherai de Babylone le nom et le reste, descendance et postérité, oracle de Yahvé.
- Un Ange puissant prit alors une pierre, comme une grosse meule, et la jeta dans la mer en disant : « Ainsi, d'un coup, on jettera Babylone, la grande cité, on ne la verra jamais plus... »
- Et le premier sonna... Il y eut alors de la grêle et du feu mêlés de sang qui furent jetés sur la terre : et le tiers de la terre fut consumé, et le tiers des arbres fut consumé, et toute herbe verte fut consumée.
- La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont déchaînés contre cette maison, et elle n'a pas croulé : c'est qu'elle avait été fondée sur le roc.
- « Pillez l'argent ! Pillez l'or ! » Il n'y a pas de fin au trésor, une masse de tous objets précieux !
- même quand survient l'inondation. Il réduira à néant ceux qui se dressent contre lui, il poursuivra ses ennemis jusque dans les ténèbres.
- Dis à ceux qui la couvrent de crépi : Qu'il y ait une pluie torrentielle, qu'il tombe des grêlons, qu'un vent de tempête soit déchaîné,
- Par tes valets tu as insulté le Seigneur, tu as dit : "Avec mes nombreux chars j'ai gravi les sommets des monts, les dernières cimes du Liban. J'ai coupé sa haute futaie de cèdres et ses plus beaux cyprès. J'ai atteint son ultime sommet, son parc forestier.
- Car la ville fortifiée est devenue une solitude, abandonnée, délaissée comme un désert, où les veaux paissent, où ils se couchent en détruisant les branchages.
- Car tu as été un refuge pour le faible, un refuge pour le malheureux plongé dans la détresse, un abri contre la pluie, un ombrage contre la chaleur, car le souffle des violents est comme la pluie d'hiver.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV