- Ma demeure est arrachée, jetée loin de moi, comme une tente de bergers ; comme un tisserand j'ai enroulé ma vie, il m'a séparé de la chaîne. Du point du jour jusqu'à la nuit tu m'as achevé ; - Lire dans le contexte
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- Quand j'étais frappé tout le jour, et j'avais mon châtiment chaque matin,
- Nous savons en effet que si cette tente - notre maison terrestre - vient à être détruite, nous avons un édifice qui est l'oeuvre de Dieu, une maison éternelle qui n'est pas faite de main d'homme, dans les cieux.
- Comme un manteau tu les rouleras, comme un vêtement, et ils seront changés. Mais toi, tu es le même et tes années ne s'achèveront point.
- Vous qui ne savez pas ce que demain sera votre vie, car vous êtes une vapeur qui paraît un instant, puis disparaît.
- Oui, nous qui sommes dans cette tente, nous gémissons, accablés ; nous ne voudrions pas en effet nous dévêtir, mais nous revêtir par-dessus, afin que ce qui est mortel soit englouti par la vie.
- Elle ne sera plus jamais habitée ni peuplée, de génération en génération. L'Arabe n'y campera plus, et les bergers n'y parqueront plus les troupeaux.
- Elle est restée, la fille de Sion, comme une hutte dans une vigne, comme un abri dans un champ de concombres, comme une ville assiégée.
- Que des princes tiennent séance et parlent contre moi, ton serviteur médite tes volontés.
- quand se joindront peuples et royaumes pour rendre un culte à Yahvé.
- devant ta colère et ta fureur, car tu m'as soulevé puis rejeté ;
- Tu as ôté son sceptre de splendeur, renversé son trône jusqu'à terre ;
- Béni Yahvé qui fit pour moi des merveilles d'amour en une ville de rempart !
- Mon souffle en moi s'épuise et les fossoyeurs pour moi s'assemblent.
- Pareil à la fleur, il éclot puis se fane, il fuit comme l'ombre, sans arrêt.
- j'ai en partage des mois d'illusion, à mon compte des nuits de souffrance.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV