- Ne crains pas, Jacob, à présent vermine, Israël, à présent cadavres, c'est moi qui t'aide — oracle du SEIGNEUR — celui qui te rachète, c'est le Saint d'Israël. - Lire dans le contexte
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- Eloigne aussi ton serviteur des orgueilleux : qu'ils n'aient pas d'emprise sur moi, alors je serai parfait et innocent d'un grand péché.
- Car celui qui t'a faite, c'est ton époux : le SEIGNEUR, le tout-puissant, c'est son nom ; le Saint d'Israël, c'est celui qui te rachète, il s'appelle le Dieu de toute la terre.
- Ils criaient vers toi, et ils étaient délivrés ; Ils comptaient sur toi, et ils n'étaient pas déçus.
- Ainsi parle le SEIGNEUR, celui qui vous rachète, le Saint d'Israël : A cause de vous je lance une expédition à Babylone, je les fais tous descendre en fugitifs, oui, les Chaldéens, sur ces navires où retentissaient leurs acclamations.
- Ainsi parle le SEIGNEUR qui te rachète, qui t'a formé dès le sein maternel : C'est moi, le SEIGNEUR, qui fais tout ; j'ai tendu les cieux, moi tout seul, j'ai étalé la terre, qui m'assistait ?
- que dire de l'homme, ce ver, du fils d'Adam, cette larve !
- Ainsi parle le SEIGNEUR, le Roi d'Israël, celui qui le rachète, le SEIGNEUR, le tout-puissant : C'est moi le premier, c'est moi le dernier, en dehors de moi, pas de dieu.
- Mais leur défenseur est fort, le SEIGNEUR le tout-puissant, c'est son nom. Il plaide vigoureusement leur cause afin de rendre au pays son calme et d'ébranler les habitants de Babylone.
- Celui qui nous rachète, son nom est le SEIGNEUR, le tout-puissant, le Saint d'Israël.
- Dans un débordement d'irritation, j'avais caché mon visage, un instant, loin de toi, mais avec une amitié sans fin je te manifeste ma tendresse, dit celui qui te rachète, le SEIGNEUR.
- Je ferai manger à tes oppresseurs leur propre chair, ils s'enivreront de leur propre sang comme d'un vin giclant du pressoir ; et tous les êtres de chair sauront que celui qui te sauve, c'est moi, le SEIGNEUR, que celui qui te rachète, c'est l'Indomptable de Jacob !
- Sois sans crainte, petit troupeau, car votre Père a trouvé bon de vous donner le Royaume.
- Esaïe, de son côté, s'écrie au sujet d'Israël : Quand bien même le nombre des fils d'Israël serait comme le sable de la mer, c'est le reste qui sera sauvé ;
- Christ a payé pour nous libérer de la malédiction de la loi, en devenant lui-même malédiction pour nous, puisqu'il est écrit : Maudit quiconque est pendu au bois.
- Il s'est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité et de purifier un peuple qui lui appartienne, qui soit plein d'ardeur pour les belles oeuvres.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV