- mais voilà un peuple pillé et ravagé : on les a tous séquestrés dans des fosses, dans des maisons d'arrêt ils ont été dissimulés ; ils étaient voués au pillage et nul ne les délivrait, voués au ravage, et nul ne disait : « Restitue ! » - Lire dans le contexte
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- qui transformait le monde en désert, rasant les villes et ne rendant pas à leur foyer les prisonniers ? »
- Il m'a dévorée, il m'a sucée, Nabuchodonosor, roi de Babylone, il m'a laissée comme un plat léché. Comme un monstre, il m'a engloutie, il s'est rempli le ventre de ma moelle et m'a rejetée.
- Israël était une brebis isolée, des lions l'ont pourchassée. En premier, le roi d'Assyrie l'a entamée. Ensuite, Nabuchodonosor, roi de Babylone l'a achevée jusqu'aux os.
- Vous tous, animaux des champs, venez pour vous repaître, vous tous, animaux des bois :
- Oui, ainsi parle le Seigneur DIEU : Au début, c'est en Egypte que mon peuple descendit pour y émigrer ; à la fin, c'est l'Assyrie qui le soumit à l'extorsion ;
- Je la mettrai dans la main de tes tourmenteurs, de ceux qui te disaient, à toi : « Aplatis-toi, pour que nous passions » ; alors, tu avais mis ton dos en guise de sol, en guise de rue pour les passants.
- C'est moi qui, selon la justice, ai fait surgir cet homme et j'aplanirai tous ses chemins. C'est lui qui rebâtira ma ville, et il renverra mes déportés, sans qu'il leur en coûte ni paiement, ni commission, dit le SEIGNEUR, le tout-puissant.
- à ouvrir les yeux aveuglés, à tirer du cachot le prisonnier, de la maison d'arrêt, les habitants des ténèbres.
- La quatorzième année du règne d'Ezékias, Sennakérib, roi d'Assyrie, monta contre toutes les villes fortifiées de Juda et s'en empara.
- Ils seront entassés, captifs, dans la fosse, ils seront enfermés en prison et, longtemps après, ils devront rendre des comptes.
- Celui qui fuira le cri de frayeur tombera dans la fosse, celui qui remontera de la fosse sera pris dans le filet. Les écluses d'en haut sont ouvertes, les fondements de la terre sont ébranlés.
- toi qui envoies par mer des ambassades dans les bateaux de papyrus, par-dessus les eaux. Allez, messagers rapides, vers la nation élancée et glabre, redoutée bien au-delà de ses frontières, la nation qui balbutie et qui piétine, dont les fleuves emportent la terre.
- Votre pays est désolé, vos villes brûlées, votre terre, devant vous, des étrangers la dévorent : elle est désolée et comme bouleversée par l'envahisseur.
- Il s'est penché du haut de son sanctuaire ; le SEIGNEUR, depuis les cieux, a regardé la terre,
- Comprenez-le, vous qui oubliez Dieu ! Sinon je déchire, et nul ne délivrera.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV