- Ainsi parle le SEIGNEUR à son messie : A Cyrus que je tiens par sa main droite, pour abaisser devant lui les nations, pour déboucler la ceinture des rois, pour déboucler devant lui les battants, pour que les portails ne restent pas fermés : - Lire dans le contexte
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- C'est moi le SEIGNEUR, je t'ai appelé selon la justice, je t'ai tenu par la main, je t'ai mis en réserve et je t'ai destiné à être l'alliance du peuple, à être la lumière des nations,
- Je dis de Cyrus : « C'est mon berger » ; tout ce qui me plaît, il le fera réussir, en disant pour Jérusalem : « Qu'elle soit rebâtie », et pour le temple : « Sois à nouveau fondé ! »
- Car je suis toujours avec toi : tu m'as saisi la main droite,
- Car moi, le SEIGNEUR, je suis ton Dieu qui tiens ta main droite, qui te dis : « Ne crains pas, c'est moi qui t'aide. »
- Epée, taille dans les Chaldéens — oracle du SEIGNEUR —, et dans les habitants de Babylone, dans ses ministres et dans ses sages !
- Affilez les flèches, saisissez les boucliers. Le SEIGNEUR réveille l'esprit des rois des Mèdes. Oui, contre Babylone il a formé ce projet : la détruire. C'est la vengeance du SEIGNEUR, la vengeance du ciel.
- Je levai les yeux et regardai : il y avait un Bélier debout devant la rivière. Il avait deux cornes. Les deux cornes étaient hautes, l'une plus haute que l'autre, et la plus haute s'élevait en dernier lieu.
- Puis voici une autre bête, une seconde, semblable à un ours : elle fut dressée sur un côté, ayant trois côtes dans la gueule entre les dents ; et on lui parlait ainsi : « Lève-toi ! Mange beaucoup de chair ! »
- PERÈS, “Divisé” : Ton royaume a été divisé, et il a été donné aux Mèdes et aux Perses. »
- « Fils d'homme, je brise le bras du Pharaon, roi d'Egypte, et on ne le panse pas, on n'y met pas de remède, on n'y applique pas de bandage, on n'y fait pas de pansement pour que ce bras retrouve sa force et tienne l'épée.
- Tu étais pour moi un pilon, une arme de guerre. Avec toi j'ai pilonné des nations. Avec toi j'ai détruit des royaumes.
- Oui, une nation du nord marche contre elle, nation qui transforme son pays en étendue désolée, où personne ne vient habiter : hommes et bêtes, tout a fui... plus rien !
- Du nord j'ai fait surgir un homme, et il est venu ; depuis le soleil levant il s'entend appeler par son nom ; il piétine les gouverneurs comme de la boue, comme le potier talonne la glaise.
- Qui a fait surgir du levant un Justicier, l'appelle sur ses pas, soumet devant lui les nations, abaisse les rois, multiplie comme poussière ses gens d'épée, comme paille en ouragan ses lanceurs de flèches,
- Moi, j'ai mandé ceux qui me sont consacrés, j'ai convoqué les guerriers de ma colère, ceux que réjouit mon honneur.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV