- C'est pourquoi mon peuple sera déporté à cause de ce qu'il a méconnu. L'élite mourra de faim et la masse se desséchera de soif. - Lire dans le contexte
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- mon peuple sera réduit au silence faute de connaissance. Puisque tu as repoussé la connaissance, je te repousserai et tu ne seras plus mon prêtre : tu as oublié l'instruction de ton Dieu, j'oublierai tes fils, moi aussi.
- Un boeuf connaît son propriétaire et un âne la mangeoire chez son maître : Israël ne connaît pas, mon peuple ne comprend pas.
- Quand les branches seront sèches, on les cassera, des femmes viendront y mettre le feu. Oui, ce peuple est sans discernement : c'est pourquoi celui qui l'a fait n'en a pas pitié, celui qui l'a formé ne lui fait pas grâce.
- mais voilà un peuple pillé et ravagé : on les a tous séquestrés dans des fosses, dans des maisons d'arrêt ils ont été dissimulés ; ils étaient voués au pillage et nul ne les délivrait, voués au ravage, et nul ne disait : « Restitue ! »
- En prétendant cela, ils oublient qu'il existait, il y a très longtemps, des cieux et une terre tirant origine de l'eau et gardant cohésion par l'eau, grâce à la Parole de Dieu.
- Et comme ils n'ont pas jugé bon de garder la connaissance de Dieu, Dieu les a livrés à leur intelligence sans jugement : ainsi font-ils ce qu'ils ne devraient pas.
- Et le jugement, le voici : la lumière est venue dans le monde, et les hommes ont préféré l'obscurité à la lumière parce que leurs oeuvres étaient mauvaises.
- ils t'écraseront, toi et tes enfants au milieu de toi ; et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre, parce que tu n'as pas reconnu le temps où tu as été visitée. »
- Malheureux êtes-vous, guides aveugles, vous qui dites : “Si l'on jure par le sanctuaire, cela ne compte pas ; mais si l'on jure par l'or du sanctuaire, on est tenu.”
- Ce jour-là, les vierges en leur beauté et les jeunes hommes dépériront de soif ;
- Votre pays est désolé, vos villes brûlées, votre terre, devant vous, des étrangers la dévorent : elle est désolée et comme bouleversée par l'envahisseur.
- De soif, la langue du nourrisson colle à son palais ; les bambins réclament du pain ; personne ne leur en présente.
- Si je vais aux champs, voilà les victimes de l'épée ; si je rentre dans la ville, voilà ceux que torture la faim. Prophètes et prêtres parcourent le pays sans plus rien comprendre.
- Les notables envoient le petit peuple à la corvée d'eau : arrivé aux mares, on ne trouve plus d'eau ; on s'en retourne, les récipients vides, embarrassé, penaud, décontenancé.
- Même la cigogne dans les airs connaît le temps de ses migrations. La tourterelle, l'hirondelle et la grive ne manquent pas le moment du retour. Mais mon peuple ne tient pas compte de l'ordre établi par le SEIGNEUR.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV