- C'est pourquoi le shéol dilate sa gorge et bée d'une gueule démesurée. Ils y descendent, ses nobles, ses foules et ses criards, et ils y exultent. - Lire dans le contexte
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- Assurément la richesse trahit ! Il perd le sens et ne subsiste pas, celui qui dilate sa gorge comme le shéol, celui qui comme la mort est insatiable, qui rassemble pour lui toutes les nations et réunit pour lui tous les peuples !
- Au jour fixé, Hérode, vêtu de ses habits royaux, prit place sur la tribune et, tandis qu'il les haranguait,
- Et la mer rendit les morts qu'elle gardait, la Mort et l'Hadès rendirent les morts qu'ils gardaient, et chacun fut jugé selon ses oeuvres.
- Tenez-vous sur vos gardes, de peur que vos coeurs ne s'appesantissent dans la débauche, l'ivrognerie, les soucis de la vie, et que ce Jour-là ne fonde soudain sur vous
- comme le shéol, avalons-les tout vifs, tout entiers, tels ceux qui descendent dans la fosse !
- Insatiables sont le Shéol et la Perdition, ainsi les yeux de l'homme sont-ils insatiables.
- Car depuis longtemps est préparé Tophèt, - il sera aussi pour le roi - profond et large son bûcher, feu et bois y abondent ; le souffle de Yahvé, comme un torrent de soufre, va y mettre le feu.
- le shéol, le sein stérile, la terre que l'eau ne peut rassasier, le feu qui jamais ne dit : « Assez ! »
- En bas, le shéol a tressailli à ton sujet pour venir à ta rencontre, il a réveillé pour toi les ombres, tous les potentats de la terre, il a fait lever de leur trône tous les rois des nations.
- à qui m'unissait une douce intimité dans la maison de Dieu ! Qu'ils s'en aillent dans le tumulte,
- Ainsi vont-ils, sûrs d'eux-mêmes, et finissent-ils, contents de leur sort.
- Mais si Yahvé fait quelque chose d'inouï, si la terre ouvre sa bouche et les engloutit, eux et tout ce qui leur appartient, et qu'ils descendent vivants au shéol, vous saurez que ces gens ont rejeté Yahvé. »
- On mangeait, on buvait, on prenait femme ou mari, jusqu'au jour où Noé entra dans l'arche ; et vint le déluge, qui les fit tous périr.
- Et un pauvre, nommé Lazare, gisait près de son portail, tout couvert d'ulcères.
- Mon coeur s'égare, un frisson me terrifie ; le crépuscule auquel j'aspirais devient ma terreur.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV