- Il y retourna la terre, enleva les pierres, et installa un plant de choix. Au milieu, il bâtit une tour et il creusa aussi un pressoir. Il en attendait de beaux raisins, il n'en eut que de mauvais. - Lire dans le contexte
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- Moi, je t'avais plantée, vignoble de choix, tout entier en cépage franc. Comment as-tu dégénéré en vigne inconnue aux fruits infects ?
- Voyant de loin un figuier qui avait des feuilles, il alla voir s'il n'y trouverait pas quelque chose. Et s'étant approché, il ne trouva que des feuilles, car ce n'était pas le temps des figues.
- Et à quoi donc reconnaîtra-t-on que, moi et ton peuple, nous avons trouvé grâce à tes yeux ? N'est-ce pas quand tu marcheras avec nous, et que nous serons différents, moi et ton peuple, de tout peuple qui est sur la surface de la terre ? »
- Voyant un figuier près du chemin, il s'en approcha, mais il n'y trouva rien, que des feuilles. Il lui dit : « Jamais plus tu ne porteras de fruit ! » A l'instant même, le figuier sécha.
- Quand le temps des fruits approcha, il envoya ses serviteurs aux vignerons pour recevoir les fruits qui lui revenaient.
- Et toi, tour du troupeau, hauteur de la fille de Sion, vers toi fera retour la souveraineté d'antan, la royauté qui revient à la fille de Jérusalem.
- Israël, vigne florissante, produisait du fruit à l'avenant. Plus ses fruits se multipliaient, plus il multipliait les autels ; plus sa terre était belle, plus ils embellissaient les stèles.
- — Pourquoi y a-t-il du rouge à ton vêtement, pourquoi tes habits sont-ils comme ceux d'un fouleur au pressoir ?
- La vigne du SEIGNEUR, le tout-puissant, c'est la maison d'Israël, et les gens de Juda sont le plant qu'il chérissait. Il en attendait le droit, et c'est l'injustice. Il en attendait la justice, et il ne trouve que les cris des malheureux.
- Comment est-elle devenue une prostituée, la cité fidèle, remplie de justice, refuge du droit... et maintenant des assassins ?
- La fille de Sion va rester comme une cabane dans une vigne, comme un abri dans un champ de concombres, comme une ville sur ses gardes.
- Du chef de choeur, des fils de Coré, instruction.
- En ces jours-là, je vis, en Juda, des gens qui foulaient aux pieds dans les pressoirs durant le sabbat, qui rentraient des gerbes et chargeaient aussi sur les ânes du vin, des raisins, des figues et toute sorte d'autres fardeaux pour les apporter à Jérusalem pendant le jour du sabbat. Je leur fis des remontrances, le jour où ils vendaient leurs denrées.
- Or, après cela, Samson aima une femme, du côté des gorges du Soreq ; elle se nommait Dalila.
- Quand le Très-Haut donna aux nations leur patrimoine, quand il sépara les humains, il fixa le territoire des peuples suivant le nombre des fils d'Israël.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV