- Et maintenant, que je vous apprenne ce que je vais faire à ma vigne ! En ôter la haie pour qu'on vienne la brouter, en briser la clôture pour qu'on la piétine ; - Lire dans le contexte
Versets semblables
- votre alliance avec la mort sera rompue, votre pacte avec le shéol ne tiendra pas. Quant au fléau destructeur, lorsqu'il passera, vous serez piétinés par lui.
- Tous mes braves, le Seigneur les a rejetés du milieu de moi. Il a convoqué contre moi une assemblée pour anéantir mon élite. Le Seigneur a foulé au pressoir la vierge, fille de Juda.
- Ils tomberont sous le tranchant du glaive et ils seront emmenés captifs dans toutes les nations, et Jérusalem sera foulée aux pieds par des païens jusqu'à ce que soient accomplis les temps des païens.
- Elles seront foulées aux pieds, l'orgueilleuse couronne des ivrognes d'Éphraïm
- Contre une nation impie je l'envoyais, contre le peuple objet de mon emportement je le mandais, pour se livrer au pillage et rafler le butin, pour les piétiner comme la boue des rues.
- Yahvé suscitera contre toi une nation lointaine, des extrémités de la terre ; comme l'aigle qui prend son essor. Ce sera une nation dont la langue te sera inconnue,
- quant au parvis extérieur du Temple, laisse-le, ne le mesure pas, car on l'a donné aux païens : ils fouleront la Ville Sainte durant quarante-deux mois.
- Car la main de Yahvé reposera sur cette montagne et Moab sera foulé sur place, comme on foule la paille dans la fosse à fumier.
- elle étendait ses sarments jusqu'à la mer et du côté du Fleuve ses rejetons.
- Elle passe des nuits à pleurer et les larmes couvrent ses joues. Pas un qui la console parmi tous ses amants. Tous ses amis l'ont trahie, devenus ses ennemis !
- Ils ne croyaient pas, les rois de la terre et tous les habitants du monde, que l'oppresseur et l'ennemi franchiraient les portes de Jérusalem.
- J'entendis un saint qui parlait, et un autre saint dit à celui qui parlait : « Jusques à quand la vision : le sacrifice perpétuel, désolation de l'iniquité, sanctuaire et légion foulés aux pieds ? »
- Poème. D'Asaph. Pourquoi, ô Dieu, rejeter jusqu'à la fin, fumer de colère contre le troupeau de ton bercail ?
- et dis au roi : « Que le roi vive à jamais ! Comment mon visage ne serait-il pas triste quand la ville où sont les tombeaux de mes pères est en ruines et ses portes dévorées par le feu ? »
- Je ferai de vos villes une ruine, je dévasterai vos sanctuaires et ne respirerai plus vos parfums d'apaisement.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV