- Ce double malheur qui t'est arrivé, qui t'en plaindra ? Le pillage et la ruine, la famine et l'épée, qui t'en consolera ? - Lire dans le contexte
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- Et comme elles achevaient de dévorer l'herbe du pays, je dis : « Seigneur Yahvé, pardonne, je t'en prie ! Comment Jacob tiendra-t-il ? Il est si petit ! »
- Eh bien, ces deux malheurs fondront sur toi, soudainement, en un jour, privation d'enfants et veuvage, tout à coup ils fondront sur toi, en dépit de tous tes sortilèges, de la puissance de tes incantations.
- Toi, tu connais mon insulte, ma honte et mon affront. Devant toi tous mes oppresseurs.
- Que notre Seigneur Jésus Christ lui-même, ainsi que Dieu notre Père, qui nous a aimés et nous a donné, par grâce, consolation éternelle et heureuse espérance,
- Voilà ce qui nous a consolés. A cette consolation personnelle s'est ajoutée une joie bien plus grande encore, celle de voir la joie de Tite, dont l'esprit a reçu apaisement de vous tous.
- Mais Celui qui console les humiliés, Dieu, nous a consolés par l'arrivée de Tite,
- Ainsi parle le Seigneur Yahvé : Bien que j'envoie mes quatre fléaux terribles, épée, famine, bêtes féroces et peste, vers Jérusalem pour en retrancher bêtes et gens,
- C'est pour cela que je pleure ; mes yeux fondent en larmes, car il est loin de moi, le consolateur qui me rendrait la vie. Mes fils sont bouleversés, car l'ennemi est trop fort. »
- Vous tous qui passez par le chemin, regardez et voyez s'il est une douleur pareille à la douleur qui me tourmente, dont Yahvé m'a affligée au jour de sa brûlante colère.
- Celui-ci vit venir vers lui tous ses frères et toutes ses soeurs ainsi que tous ceux qui le fréquentaient autrefois. Partageant le pain avec lui dans sa maison, ils s'apitoyaient sur lui et le consolaient de tous les maux que Yahvé lui avait infligés. Chacun lui fit cadeau d'une pièce d'argent, chacun lui laissa un anneau d'or.
- Vite, qu'elles entonnent sur nous une lamentation ! Que nos yeux versent des larmes, que nos paupières laissent ruisseler de l'eau !
- proclamer une année de grâce de la part de Yahvé et un jour de vengeance pour notre Dieu, pour consoler tous les affligés,
- C'est pourquoi j'ai dit : « Détournez-vous de moi, que je pleure amèrement ; n'essayez pas de me consoler de la ruine de la fille de mon peuple. »
- Car les premiers-nés des pauvres auront leur pâture, et les malheureux reposeront en sécurité, tandis que je ferai mourir de faim ta souche, et que je tuerai ce qui reste de toi.
- Je regarde encore toute l'oppression qui se commet sous le soleil : Voici les larmes des opprimés, et ils n'ont pas de consolateur ; et la force du côté des oppresseurs, et ils n'ont pas de consolateur.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV