- Surgis, surgis, revêts-toi de puissance, bras du SEIGNEUR, surgis, comme aux jours du temps passé, des générations d'autrefois. N'est-ce pas toi qui as taillé en pièces le Tempétueux, transpercé le Dragon ? - Lire dans le contexte
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- tu as maîtrisé la mer par ta force, fracassant la tête des dragons sur les eaux ;
- Ce jour-là, le SEIGNEUR interviendra avec son épée acérée, énorme, puissante contre Léviatan, le serpent fuyant, contre Léviatan, le serpent tortueux, il tuera le Dragon de la mer.
- Surgis, surgis, revêts-toi de puissance, ô Sion, revêts tes habits de splendeur, Jérusalem, ville de la sainteté, car désormais, l'incirconcis, l'impur, n'obtiendra plus de revenir chez toi.
- Resurgis, resurgis, mets-toi debout, Jérusalem, toi qui as bu de la main du SEIGNEUR le calice de sa fureur ; la coupe du calice de vertige tu l'as bue, tu l'as vidée.
- Par sa force, il a fendu l'Océan, par son intelligence, il a brisé le Typhon.
- Parle et dis : Ainsi parle le Seigneur DIEU : Je viens contre toi, Pharaon, roi d'Egypte, grand dragon tapi au milieu de ses Nils ; c'est toi qui as dit : “Il est à moi, mon Nil, et moi, je me suis fait moi-même.”
- Le SEIGNEUR est roi. Il est vêtu de majesté. Le SEIGNEUR est vêtu, avec la force pour baudrier. Oui, le monde reste ferme, inébranlable.
- Il est intervenu de toute la force de son bras ; il a dispersé les hommes à la pensée orgueilleuse ;
- C'est toi qui maîtrises l'orgueil de la Mer ; quand ses vagues se soulèvent, c'est toi qui les apaises.
- Du chef de choeur, des fils de Coré, instruction.
- Qui donc a cru à ce que nous avons entendu dire ? Le bras du SEIGNEUR, en faveur de qui a-t-il été dévoilé ?
- Car les voici en embuscade contre moi, des puissants m'attaquent, sans que j'aie commis de faute ou de péché, SEIGNEUR !
- Il a vu qu'il n'y avait personne, il s'est désolé que personne n'intervienne ; alors c'est son bras qui l'a mené au salut et sa justice qui l'a soutenu.
- Par sa droite et par son bras puissant le SEIGNEUR a garanti ce serment : Jamais plus je ne donnerai ton blé en nourriture à tes ennemis, jamais plus les fils de l'étranger ne boiront ton vin, celui pour lequel tu t'es fatiguée.
- MALHEUR ! Il dit à un morceau de bois : « Lève-toi ! » ou : « Réveille-toi ! » à une pierre silencieuse, et annonce : « Elle va enseigner ! » La voici plaquée d'or et d'argent, mais aucun souffle ne l'anime.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV