- « Que nous sert de jeûner, si tu ne le vois pas, de nous humilier, si tu ne le sais pas ? » Or, le jour de votre jeûne, vous savez tomber sur une bonne affaire, et tous vos gens de peine, vous les brutalisez ! - Lire dans le contexte
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- Vous prétendez : « Inutile de servir Dieu ; à quoi bon avoir gardé ses observances et marché dans le deuil devant le SEIGNEUR le tout-puissant ?
- En moi s'imposa la décision de faire des reproches aux notables et aux magistrats, et je leur dis : « C'est une charge que vous faites peser les uns sur les autres ! » Puis, je les convoquai à une grande assemblée.
- C'est pour vous une loi immuable : au septième mois, le dix du mois, vous jeûnez et vous ne faites aucun ouvrage, tant l'indigène que l'émigré installé parmi vous.
- Il dit encore la parabole que voici à certains qui étaient convaincus d'être justes et qui méprisaient tous les autres :
- « Dis à tout le peuple du pays et aux prêtres : Quand vous avez jeûné, avec des lamentations, au cinquième et au septième mois et cela depuis soixante-dix ans, ce jeûne, l'avez-vous pratiqué pour moi ?
- Oui, le zèle pour ta maison m'a dévoré ; ils t'insultent, et leurs insultes retombent sur moi.
- mais il répliqua à son père : “Voilà tant d'années que je te sers sans avoir jamais désobéi à tes ordres ; et, à moi, tu n'as jamais donné un chevreau pour festoyer avec mes amis.
- En la recevant, ils murmuraient contre le maître de maison :
- En sortant, ce serviteur rencontra un de ses compagnons, qui lui devait cent pièces d'argent ; il le prit à la gorge et le serrait à l'étrangler, en lui disant : “Rembourse ce que tu dois.”
- Ecoutez donc ceci, chefs de la maison de Jacob, magistrats de la maison d'Israël, qui avez le droit en horreur et rendez tortueuse toute droiture,
- La nouvelle parvint au roi de Ninive. Il se leva de son trône, fit glisser sa robe royale, se couvrit d'un sac, s'assit sur de la cendre,
- En ces jours-là, moi Daniel, je portai le deuil pendant trois semaines :
- « En outre, le dix de ce septième mois, qui est le Jour du Grand Pardon, vous tiendrez une réunion sacrée, vous jeûnerez, et vous présenterez un mets consumé au SEIGNEUR ;
- et c'est l'allégresse et la joie : on tue les boeufs, on égorge les moutons, on mange de la viande, on boit du vin, on mange, on boit... car demain nous mourrons.
- Qui détourne l'oreille de l'écoute de la Loi, sa prière même est une horreur.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV