- Regarde du ciel et vois, depuis ta demeure sainte et glorieuse. Où sont ta jalousie et ta puissance ? Le frémissement de tes entrailles et ta pitié pour moi se sont-ils contenus ? - Lire dans le contexte
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- De la demeure de ta sainteté, des cieux, regarde et bénis Israël ton peuple, ainsi que la terre que tu nous as donnée comme tu l'avais juré à nos pères, terre qui ruisselle de lait et de miel. »
- Comment t'abandonnerais-je, Éphraïm, te livrerais-je, Israël ? Comment te traiterais-je comme Adma, te rendrais-je semblable à Çeboyim ? Mon coeur en moi est bouleversé, toutes mes entrailles frémissent.
- Ephraïm est-il donc pour moi un fils si cher, un enfant tellement préféré, que chaque fois que j'en parle je veuille encore me souvenir de lui ? C'est pour cela que mes entrailles s'émeuvent pour lui, que pour lui déborde ma tendresse, oracle de Yahvé.
- Cantique des montées. Vers toi j'ai les yeux levés, qui te tiens au ciel ;
- le sanglier des forêts la ravage et la bête des champs la dévore ?
- du lieu de sa demeure il observe tous les habitants de la terre ;
- Ainsi parle Yahvé : Le ciel est mon trône, et la terre l'escabeau de mes pieds. Quelle maison pourriez-vous me bâtir, et quel pourrait être le lieu de mon repos,
- Dans toutes leurs angoisses, ce n'est pas un messager ou un ange, c'est sa face qui les a sauvés. Dans son amour et sa pitié, c'est lui qui les a rachetés, il s'est chargé d'eux et les a portés, tous les jours du passé.
- Il a revêtu comme cuirasse la justice, sur sa tête le casque du salut, il a revêtu comme tunique des habits de vengeance, il s'est drapé de la jalousie comme d'un manteau.
- car ainsi parle celui qui est haut et élevé, dont la demeure est éternelle et dont le nom est saint. « Je suis haut et saint dans ma demeure, mais je suis avec l'homme contrit et humilié, pour ranimer les esprits humiliés, pour ranimer les coeurs contrits.
- Éveille-toi, éveille-toi ! revêts-toi de force, bras de Yahvé. Éveille-toi comme aux jours d'autrefois, des générations de jadis. N'est-ce pas toi qui as fendu Rahab, transpercé le Dragon ?
- Une femme oublie-t-elle son petit enfant, est-elle sans pitié pour le fils de ses entrailles ? Même si les femmes oubliaient, moi, je ne t'oublierai pas.
- Souviens-toi de ta tendresse, Yahvé, de ton amour, car ils sont de toujours.
- Qui est comme Yahvé notre Dieu, lui qui s'élève pour siéger
- On écrira ceci pour l'âge à venir et un peuple nouveau louera Dieu
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV