- C'est que notre Père, c'est toi ! Abraham en effet ne nous connaît pas, Israël ne nous reconnaît pas non plus ; c'est toi, SEIGNEUR, qui es notre Père, notre Rédempteur depuis toujours, c'est là ton nom. - Lire dans le contexte
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- Ne t'irrite pas, SEIGNEUR, jusqu'à l'excès, ne te rappelle pas à jamais la perversité. Mais regarde donc : ton peuple, c'est nous tous !
- Ne crains pas, Jacob, à présent vermine, Israël, à présent cadavres, c'est moi qui t'aide — oracle du SEIGNEUR — celui qui te rachète, c'est le Saint d'Israël.
- Est-ce là une façon de traiter le SEIGNEUR, peuple fou et sans sagesse ? n'est-ce pas lui ton père, qui t'a donné la vie ? C'est lui qui t'a fait et qui t'a établi.
- Ainsi parle le SEIGNEUR, le Roi d'Israël, celui qui le rachète, le SEIGNEUR, le tout-puissant : C'est moi le premier, c'est moi le dernier, en dehors de moi, pas de dieu.
- Ses fils sont honorés, il ne le sait, sont-ils avilis, il l'ignore.
- N'avons-nous pas tous un seul père ? Un seul Dieu ne nous a-t-il pas créés ? Pourquoi sommes-nous traîtres l'un envers l'autre, profanant ainsi l'alliance avec nos pères ?
- Ainsi parle le SEIGNEUR, celui qui vous rachète, le Saint d'Israël : A cause de vous je lance une expédition à Babylone, je les fais tous descendre en fugitifs, oui, les Chaldéens, sur ces navires où retentissaient leurs acclamations.
- David bénit le SEIGNEUR aux yeux de toute l'assemblée, en disant : « Béni sois-tu, SEIGNEUR, Dieu d'Israël, notre père depuis toujours et pour toujours.
- Car les vivants savent qu'ils mourront ; mais les morts ne savent rien du tout ; pour eux, il n'y a plus de rétribution, puisque leur souvenir est oublié.
- Celui qui fit avancer, à la droite de Moïse, son bras resplendissant ? Celui qui fendit les eaux devant eux pour se faire un nom éternel ?
- sachant que ce n'est point par des choses périssables, argent ou or, que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre héritée de vos pères,
- Car celui qui t'a faite, c'est ton époux : le SEIGNEUR, le tout-puissant, c'est son nom ; le Saint d'Israël, c'est celui qui te rachète, il s'appelle le Dieu de toute la terre.
- Un fils honore son père, un serviteur, son maître. Or, si je suis père, où est l'honneur qui me revient ? Et si je suis maître, où est le respect qui m'est dû ? vous déclare le SEIGNEUR le tout-puissant, à vous, les prêtres qui méprisez mon nom. Et vous dites : « En quoi avons-nous méprisé ton nom ? »
- Ils arrivent tout en pleurs, ils crient : « Grâce ! » et je les pousse : je les dirige vers des vallées bien arrosées par un chemin uni où ils ne trébuchent pas. Oui, je deviens un père pour Israël, Ephraïm est mon fils aîné.
- Moi je m'étais dit : « Oh ! comme je voudrais te distinguer parmi les fils, te donner un pays de cocagne, un patrimoine qui soit, parmi les nations, d'une beauté féerique. » Et je disais : « Vous m'appellerez “Mon Père”, vous ne vous détournerez plus de moi. »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV