• On sacrifie le taureau, mais aussi on abat un homme ! on immole la brebis, mais aussi on assomme un chien ! on élève une offrande, mais c'est du sang... de porc ! on fait un mémorial d'encens, mais c'est pour bénir... une malfaisante idole ! Ces gens-là, c'est sûr, choisissent leurs propres chemins et se complaisent dans leurs abominations. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • on l'amène aux prêtres, fils d'Aaron, et on en prend une pleine poignée — de la farine, de l'huile, avec tout l'encens — puis le prêtre fait fumer à l'autel ce mémorial. C'est un mets consumé, un parfum apaisant pour le SEIGNEUR.
  • Je déteste, je méprise vos pèlerinages, je ne puis sentir vos rassemblements,
  • Ceux qui se veulent « sacro-saints » et « purs » pour l'accès des jardins à la suite du numéro un, qui est au milieu, ceux qui mangent la viande du porc, des bêtes abominables et de la souris, tous ensemble expireront — oracle du SEIGNEUR !
  • moi, je vous recense pour l'épée : tous, vous fléchirez le genou pour être égorgés ! J'ai appelé, en effet, et vous n'avez pas répondu ; j'ai parlé, et vous n'avez pas écouté. Vous avez fait ce qui est mal à mes yeux et vous avez opté pour ce qui ne me plaît pas.
  • C'est un peuple qui me vexe, en face, sans arrêt : ils font des sacrifices dans des jardins, ils font fumer des aromates sur des briques,
  • Par la perversité de sa rapine, j'ai été irrité, je l'ai frappé, en me détournant ; j'étais irrité : il allait, rétif, suivant le chemin de son coeur ;
  • Que me fait la multitude de vos sacrifices, dit le SEIGNEUR ? Les holocaustes de béliers, la graisse des veaux, j'en suis rassasié. Le sang des taureaux, des agneaux et des boucs, je n'en veux plus.
  • Le sacrifice des méchants est une horreur d'autant plus qu'ils l'offrent avec malice.
  • Le sacrifice des méchants est en horreur au SEIGNEUR, il se complaît à la prière des hommes droits.
  • Allez ! Criez vers les dieux que vous avez choisis. Qu'ils viennent, eux, à votre secours au temps de votre détresse ! »
  • On choisissait des dieux nouveaux ; alors la guerre était aux portes ; c'est à peine si on voyait un bouclier et une lance pour quarante mille hommes en Israël.
  • Il n'y aura pas de courtisane sacrée parmi les filles d'Israël ; il n'y aura pas de prostitué sacré parmi les fils d'Israël.
  • Et le porc, puisqu'il a des sabots, mais ne rumine pas, pour vous il est impur : vous ne devez ni manger de leur chair ni toucher leur cadavre.

En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV