- En chaque province et en chaque ville où étaient parvenus l'ordonnance du roi et son décret, c'était joie et jubilation pour les Juifs, c'était le banquet et la fête. Beaucoup de gens du pays se faisaient Juifs, car la terreur des Juifs tombait sur eux. - Lire dans le contexte
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- C'est pourquoi les Juifs ruraux, habitant les bourgades rurales, font du quatorze du mois d'Adar un jour de joie, de banquet, de fête, en s'envoyant mutuellement des portions.
- Interroge tes garçons et ils t'informeront. Que mes garçons trouvent chez toi un accueil favorable, car nous sommes venus un jour de fête ! Donne, je te prie, ce que tu peux donner à tes serviteurs et à ton fils David. »
- Personne ne tiendra devant vous, le SEIGNEUR répandra la terreur et la crainte de vous sur tout le pays que vous foulerez, comme il vous l'a promis.
- Ainsi parle le SEIGNEUR le tout-puissant : Oui, on verra encore affluer des peuples, et des habitants de grandes cités.
- les Juifs en ont fait une institution et l'ont acceptée pour eux-mêmes, pour leur descendance et pour tous leurs adeptes : on ne manquera pas d'observer chaque année ces deux jours selon leurs prescriptions et selon leurs dates.
- comme jours où les Juifs avaient obtenu de leurs ennemis le repos et mois où il y avait eu pour eux le renversement de situation, le passage du tourment à la joie et du deuil à la fête — : il en faisait des jours de banquet et de joie, avec envoi de portions les uns aux autres et de cadeaux aux pauvres.
- Les Juifs s'unissaient en leurs villes, dans toutes les provinces du roi Xerxès, pour porter la main sur ceux qui cherchaient à leur faire du mal. Personne ne tenait devant eux, car leur terreur tombait sur tout le monde.
- En ce jour, je commence à mettre la terreur et la peur de toi sur le visage des peuples qui habitent sous tous les cieux ; quand ils entendront parler de toi, ils trembleront et frémiront devant toi. »
- Tombent sur eux la terreur et l'effroi. Sous la grandeur de ton bras ils se taisent, pétrifiés, tant que passe ton peuple, SEIGNEUR, tant que passe le peuple que tu as acquis.
- Ils quittèrent la place et Dieu sema la terreur dans les villes des environs : nul ne poursuivit les fils de Jacob.
- J'en fais de la poussière pour le vent, je les balaie comme la boue des rues.
- C'était le treize du mois d'Adar ; le quatorze ils se reposèrent et on en fit un jour de banquet et de joie,
- Il leur dit : « Allez, mangez de bons plats, buvez d'excellentes boissons, et faites porter des portions à celui qui n'a rien pu préparer, car ce jour-ci est consacré à notre Seigneur. Ne soyez pas dans la peine, car la joie du SEIGNEUR, voilà votre force ! »
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