- Car comment pourrais-je voir le mal qui arriverait à mon peuple, et comment pourrais-je voir la destruction de ma race? - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Car nous avons été vendus, moi et mon peuple, pour être exterminés, égorgés et détruits. Que si nous n'avions été vendus que pour être esclaves et servantes, je me fusse tue, bien que l'oppresseur ne pût dédommager de la perte qui en reviendrait au roi.
- Que j'ai une grande tristesse, et un continuel tourment dans le cœur.
- Frères, le souhait de mon cœur, et ma prière à Dieu pour les Israélites, c'est qu'ils soient sauvés.
- Car comment remonterais-je vers mon père, si le jeune homme n'est avec moi? Ah! que je ne voie point l'affliction de mon père!
- Et je répondis au roi: Que le roi vive à jamais! Comment n'aurais-je pas mauvais visage, quand la ville, lieu des tombeaux de mes pères, demeure désolée, et que ses portes ont été consumées par le feu?
- Au douzième mois, qui est le mois d'Adar, au treizième jour du mois, auquel la parole du roi et son édit devaient être exécutés, au jour où les ennemis des Juifs espéraient en être les maîtres, le contraire arriva, et les Juifs furent maîtres de ceux qui les haïssaient.
- Mes entrailles! mes entrailles! Je sens de la douleur; le dedans de mon cœur, le cœur me bat. Je ne puis me taire! Car, ô mon âme! tu as entendu le son de la trompette, le cri du combat.
- Oh! que ma tête n'est-elle de l'eau, et mes yeux une fontaine de larmes! Je pleurerais jour et nuit les blessés à mort de la fille de mon peuple.
- Et quand il fut près de la ville, en la voyant, il pleura sur elle, et dit:
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV