• Comment pourrai-je en effet supporter la vue du malheur qui va atteindre mon peuple ? Comment pourrai-je supporter la vue de l'anéantissement de ma parenté ? » - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • En effet nous avons été vendus, moi et mon peuple : A exterminer ! à tuer ! à anéantir ! Bien sûr, si nous avions été vendus comme esclaves et comme servantes, je me tairais, car cette oppression-là ne mériterait pas qu'on importune le roi ! »
  • j'ai au coeur une grande tristesse et une douleur incessante.
  • Frères, le voeu de mon coeur et ma prière à Dieu pour eux, c'est qu'ils parviennent au salut.
  • Comment, en effet, pourrais-je remonter vers mon père si ce garçon n'est pas avec moi ? Que je ne voie pas le malheur qui atteindrait mon père ! »
  • Je dis au roi : « Que le roi vive pour toujours ! Comment mon visage ne serait-il pas triste lorsque la ville où sont les tombeaux de mes pères est dévastée, et que ses portes sont dévorées par le feu ? »
  • Le douzième mois, c'est-à-dire Adar, le treize, jour où l'on devait exécuter l'ordonnance du roi et son décret, où les ennemis des Juifs espéraient dominer sur eux, il y eut un renversement de situation : ce sont les Juifs qui dominèrent sur ceux qui les détestaient.
  • Mon ventre ! mon ventre ! je me tords de douleur ! Les parois de mon coeur ! C'est le tumulte en moi, je ne puis me taire, car je perçois l'alerte du cor, le hourra de guerre.
  • Que n'ai-je au désert un gîte de caravaniers ? J'abandonnerais mon peuple, je le planterais là : tous sont des adultères, un ramassis de traîtres.
  • Quand il approcha de la ville et qu'il l'aperçut, il pleura sur elle.

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