- Mais les sages-femmes craignirent Dieu ; elles ne firent pas comme leur avait dit le roi d'Egypte et laissèrent vivre les garçons. - Lire dans le contexte
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- Mais Pierre et les apôtres répondirent : « Il faut obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes.
- Shadrak, Méshak et Abed-Négo prirent la parole et dirent au roi : « O Nabuchodonosor ! Nous n'avons pas besoin de te répondre quoi que ce soit à ce sujet.
- La faute est effacée par l'amitié et la loyauté, et on se détourne du mal par la crainte du SEIGNEUR.
- Alors ils s'approchèrent et dirent en présence du roi, à propos de l'interdit du roi : « N'as-tu pas signé un interdit selon lequel tout homme qui, durant trente jours, prierait un autre dieu ou homme que toi-même, ô roi, serait jeté dans la fosse aux lions ? » Le roi prit la parole et dit : « La chose est sûre, selon la loi des Mèdes et des Perses qui est irrévocable. »
- Or, comme les sages-femmes avaient craint Dieu et que Dieu leur avait accordé une descendance,
- Que le pécheur fasse le mal cent fois, alors même il prolonge sa vie. Je sais pourtant, moi aussi, « qu'il y aura du bonheur pour ceux qui craignent Dieu, parce qu'ils ont de la crainte devant sa face,
- Ils les firent alors rappeler et leur interdirent formellement de prononcer ou d'enseigner le nom de Jésus.
- Je vais vous montrer qui vous devez craindre : craignez celui qui, après avoir tué, a le pouvoir de jeter dans la géhenne. Oui, je vous le déclare, c'est celui-là que vous devez craindre.
- Ne craignez pas ceux qui tuent le corps, mais ne peuvent tuer l'âme ; craignez bien plutôt celui qui peut faire périr âme et corps dans la géhenne.
- Fin du discours : Tout a été entendu. Crains Dieu et observe ses commandements, car c'est là tout l'homme :
- Qu'elles soient muettes, ces lèvres menteuses qui parlent contre le juste avec insolence, arrogance et mépris !
- Avant moi, les premiers gouverneurs écrasaient le peuple et leur prenaient du pain et du vin et, en plus, quarante sicles d'argent. Leurs serviteurs aussi exerçaient leur domination sur le peuple. Mais moi-même, je n'ai pas agi ainsi, par crainte de Dieu.
- — Craindre le SEIGNEUR c'est haïr le mal. — L'orgueil, l'arrogance, le chemin du mal et la bouche perverse, je les hais.
- Tu gardes les prescriptions d'Omri et toutes les pratiques de la maison d'Akhab. Vous marchez selon leurs directives, si bien que je te livrerai à l'épouvante, et tes habitants, à la dérision. Vous subirez la disgrâce de mon peuple.
- Ephraïm est opprimé, brisé dans le jugement, car il a persisté à courir après le néant.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV