- Si tu prends en gage le manteau de ton prochain, tu le lui rendras pour le coucher du soleil, - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Il n'a pas prêté son argent à intérêt, ni rien accepté pour perdre un innocent. Qui agit ainsi reste inébranlable.
- Si ton frère a des dettes et s'avère défaillant à ton égard, tu le soutiendras, qu'il soit un émigré ou un hôte, afin qu'il puisse survivre à tes côtés.
- il ne prête pas à intérêt ; il ne prélève pas d'usure ; il détourne sa main de l'injustice ; il rend un jugement vrai entre les hommes ;
- Tu n'apporteras jamais dans la maison du SEIGNEUR ton Dieu, pour une offrande votive, le gain d'une prostituée ou le salaire d'un « chien », car, aussi bien l'un que l'autre, ils sont une abomination pour le SEIGNEUR ton Dieu.
- Qui accroît son bien par intérêt et usure l'amasse pour celui qui a pitié des faibles.
- En moi s'imposa la décision de faire des reproches aux notables et aux magistrats, et je leur dis : « C'est une charge que vous faites peser les uns sur les autres ! » Puis, je les convoquai à une grande assemblée.
- il détourne sa main de l'injustice ; il ne prélève ni intérêt ni usure ; il accomplit mes coutumes et chemine selon mes lois : il ne mourra pas à cause de la faute de son père ; certainement il vivra.
- Alors, pourquoi n'as-tu pas mis mon argent à la banque ? A mon retour, je l'aurais repris avec un intérêt.”
- Il te fallait donc placer mon argent chez les banquiers : à mon retour, j'aurais recouvré mon bien avec un intérêt.
- Chez toi, on accepte un présent pour répandre le sang ; tu perçois des taux usuraires ; tu profites de ton prochain par la violence ; et moi, tu m'oublies ! — Oracle du Seigneur DIEU.
- il prête à intérêt et pratique l'usure... Lui, vivre ! Il ne vivra pas. Il a commis toutes ces abominations : certainement il mourra ; son sang sera sur lui.
- Quel malheur, ma mère, que tu m'aies enfanté, moi qui suis, pour tout le pays, l'homme contesté et contredit. Je n'ai ni prêté ni emprunté, et tous me maudissent.
- Moi aussi, mes frères et mes serviteurs, nous leur avons prêté de l'argent et du blé. Nous allons donc abandonner cette dette.
- Certains disaient : « Nos fils, nos filles et nous-mêmes, nous sommes nombreux. Nous voudrions avoir du blé pour manger et vivre ! »
- Elle vint en informer l'homme de Dieu qui dit : « Va, vends l'huile et paie ta dette, ensuite tu vivras, toi ainsi que tes fils, avec ce qui restera. »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV