- Tu diras à la forêt du Néguev : Ecoute la parole du SEIGNEUR : Ainsi parle le Seigneur DIEU : Voici, je vais allumer un feu au milieu de toi ; il dévorera tout arbre vert et tout arbre sec ; la flamme ardente ne s'éteindra pas et tous les visages s'y brûleront, du Néguev jusqu'au Nord. - Lire dans le contexte
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- C'est tout un, je l'ai bien dit : l'innocent, comme le scélérat, il l'anéantit.
- A nous deux maintenant, toi qui habites la vallée, rocher du plateau — oracle du SEIGNEUR ; vous qui dites : « Qui descendra nous attaquer, qui pénétrera dans nos repaires ? »
- C'est pourquoi, ainsi parle le Seigneur DIEU : Je viens, moi aussi, contre toi ; j'exécute la sentence au milieu de toi, sous les yeux des nations.
- Le lion dépeçait pour gaver ses petits, il étranglait pour ses lionnes ; il emplissait ses tanières de rapines, ses antres de viande dépecée.
- me voici contre toi--oracle du SEIGNEUR le tout-puissant ! Je retrousse ta jupe jusqu'à ta figure pour exhiber devant les nations ta nudité, devant les royaumes, ton infamie.
- Ecoute, fils d'homme, prononce un oracle : Frappe dans tes mains, l'épée frappera deux fois, trois fois. C'est l'épée des morts, la grande épée des morts qu'elle a transpercés.
- Puis je l'entendis dire aux autres : « Passez dans la ville à sa suite et frappez ; que vos yeux soient sans compassion et vous sans pitié.
- Un tiers de tes gens mourra par la peste ou sera anéanti par la famine au milieu de toi ; le deuxième tiers tombera par l'épée autour de toi ; et le dernier tiers, je le disperserai à tout vent et je tirerai l'épée derrière eux.
- A nous deux, Montagne-qui-détruit — oracle du SEIGNEUR —, toi qui détruis toute la terre ! Je pointe la main contre toi, je te fais dégringoler du haut des rochers et te transforme en montagne de braises.
- Tu étais pour moi un pilon, une arme de guerre. Avec toi j'ai pilonné des nations. Avec toi j'ai détruit des royaumes.
- A nous deux, Impudence ! — oracle du Seigneur DIEU le tout-puissant. Ton jour est arrivé, le moment pour toi de rendre compte.
- Quel malheur ! Epée du SEIGNEUR ! Vas-tu enfin te mettre au repos ? Rentre dans ton fourreau ! Détends-toi ! Du calme !
- Malheur à l'Assyrie, gourdin de ma colère ; ce bâton dans sa main, c'est mon indignation.
- tout est pareil pour tous, un sort identique échoit au juste et au méchant, au bon et au pur comme à l'impur, à celui qui sacrifie et à celui qui ne sacrifie pas ; il en est du bon comme du pécheur, de celui qui prête serment comme de celui qui craint de le faire.
- Lève-toi SEIGNEUR ! Affronte-le, fais-le plier ! Par ton épée, libère-moi du méchant !
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV