• Et je vins à Thel-Abib auprès de ceux qui avaient été transportés, qui demeuraient vers le fleuve du Kébar. Je me tins où ils se tenaient. Je restai là sept jours au milieu d'eux dans un morne silence. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Puis ils restèrent assis à terre avec lui, sept jours et sept nuits, et aucun d'eux ne lui dit une parole, car ils voyaient que sa douleur était fort grande.
  • Nous nous sommes assis près des fleuves de Babylone, et là, nous avons pleuré, nous souvenant de Sion.
  • Ils vinrent jusqu'à l'aire d'Atad, qui est au delà du Jourdain, et ils y firent de très grandes et extraordinaires lamentations; et Joseph fit à son père un deuil de sept jours.
  • La trentième année, le cinquième jour du quatrième mois, alors que je me trouvais parmi ceux qui avaient été transportés près du fleuve du Kébar, les cieux s'ouvrirent et je vis des visions divines.
  • Sur les prophètes. Mon cœur est brisé au-dedans de moi; tous mes os tremblent; je suis comme un homme ivre, comme un homme que le vin a surmonté, à cause de l'Éternel et à cause de ses paroles saintes.
  • Je me levai donc, et je sortis dans la vallée, et voici, la gloire de l'Éternel se tenait là, telle que je l'avais vue près du fleuve du Kébar. Alors je tombai sur ma face.
  • Et les chérubins s'élevèrent; c'étaient là les animaux que j'avais vus près du fleuve du Kébar.
  • La vision que j'eus alors était semblable à celle que j'avais eue, lorsque j'étais venu pour détruire la ville, et ces visions étaient comme celles que j'avais eues près du fleuve du Kébar; et je me prosternai sur ma face.
  • J'ai entendu, et mes entrailles sont émues; à cette voix mes lèvres frémissent; la carie pénètre mes os, et je tremble sous moi, de ce que je dois attendre en repos le jour de la détresse, quand montera contre le peuple celui qui l'assaillira.

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