- Voici le jour ; voici venir le terme ; il est en route. La brutalité prospère, l'insolence s'épanouit. - Lire dans le contexte
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- Malheur à l'Assyrie, gourdin de ma colère ; ce bâton dans sa main, c'est mon indignation.
- Mais il fait mieux pour se montrer favorable ; voilà pourquoi l'Ecriture dit : Dieu résiste aux orgueilleux, mais se montre favorable aux humbles.
- Quand les gens diront : « Quelle paix, quelle sécurité ! », c'est alors que soudain la ruine fondra sur eux comme les douleurs sur la femme enceinte, et ils ne pourront y échapper.
- Il y eut une parole du SEIGNEUR pour moi :
- Alors toute chair connaîtra que c'est moi, le SEIGNEUR, qui tire mon épée du fourreau où elle ne retournera plus.
- Mais un feu est sorti du rameau, il a dévoré sarments et fruits. Il n'y a plus sur la vigne de rameau vigoureux, de sceptre royal. » C'est une complainte, chantée comme une complainte.
- La fin arrive ; elle arrive, la fin ; elle s'éveille pour toi ; la voici qui arrive.
- Malheur ! Fière couronne des ivrognes d'Ephraïm, et fleurs fanées qui font l'éclat de sa parure au-dessus de la vallée plantureuse, vous qui êtes assommés par le vin.
- Avant la ruine, il y a l'orgueil ; avant le faux pas, l'arrogance.
- Dans les paroles du fou bourgeonne l'orgueil, mais les propos des sages les protègent.
- s'ils violent mes préceptes et ne gardent pas mes commandements,
- Moïse et Aaron se rendirent devant la tente de la rencontre.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV