- Il me dit : « As-tu vu, fils d'homme ? Est-ce trop peu pour la maison de Juda de commettre les abominations qu'ils commettent ici ? Ils remplissent le pays de violence et ils recommencent à m'offenser ; ils manifestent leur force avec colère. - Lire dans le contexte
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- Il me dit : « Le péché de la maison d'Israël et de Juda est grand, immense ; le pays est rempli de sang et la ville remplie de perversion ; car ils ont dit : “Le SEIGNEUR a abandonné le pays ; le SEIGNEUR ne peut rien voir” .
- Fabrique une chaîne, car le pays est plein de jugements sanguinaires, et la ville pleine de violence.
- Convoitent-ils des champs, ils les volent, des maisons, ils s'en emparent. Ils saisissent le maître et sa maison, l'homme et son patrimoine.
- Ils n'ont pas le sens de l'action droite, ces entasseurs de violences et de rapines dans leurs palais — oracle du SEIGNEUR.
- et aussi à cause du sang innocent qu'il avait répandu et dont il avait rempli Jérusalem, que le SEIGNEUR ne voulut pas pardonner.
- J'interviendrai, en ce jour-là, contre tous ceux qui sautent par-dessus le seuil, qui remplissent la maison de leur seigneur du produit de la violence et de la fourberie.
- Ville dont les riches sont pleins de violence et dont les habitants parlent avec fourberie ; dans leur bouche, leur langue n'est que tromperie.
- En voulant repousser le jour du malheur, vous rapprochez le règne de la violence.
- Tu t'es prostituée aux fils de l'Egypte, tes voisins au grand corps ; ainsi tu as multiplié tes débauches, au point de m'offenser.
- Manassé répandit aussi le sang innocent en telle quantité qu'il en remplit tout Jérusalem, sans parler du péché qu'il fit commettre à Juda, en faisant ce qui est mal aux yeux du SEIGNEUR.
- La violence s'est dressée, bâton de la méchanceté. Il ne reste rien d'eux, rien de leur clameur, rien de leur grondement ; plus de répit pour eux.
- Chaque fois que j'ai à dire la parole, je dois appeler au secours et clamer : « Violence, répression ! » A cause de la parole du SEIGNEUR, je suis en butte, à longueur de journée, aux outrages et aux sarcasmes.
- Vu qu'ils m'abandonnent, qu'ils aliènent ce lieu en y brûlant des offrandes à d'autres dieux qui ne se sont occupés ni d'eux, ni de leurs pères, ni des rois de Juda, qu'ils remplissent ce lieu du sang d'enfants innocents,
- les enfants ramassent des fagots, les pères allument le feu et les femmes pétrissent la pâte pour faire des gâteaux à la Reine du ciel. Vous répandez des libations à d'autres dieux, et ainsi vous m'offensez.
- Comme la citerne conserve ses eaux, ainsi conserve-t-elle sa méchanceté. Chez elle il n'est question que de violence et de ravage, constamment souffrances et sévices attristent mes regards.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV