• Et Sara vit le fils d'Agar Egyptienne, qu'elle avait enfanté ? Abraham, se moquer. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Agar donc enfanta un fils ? Abram; et Abram appela le nom de son fils, qu'Agar lui avait enfanté, Isma?l.
  • Mais comme alors celui qui était né selon la chair, persécutait celui qui était né selon l'Esprit, il en est de m?me aussi maintenant.
  • Or Sara? femme d'Abram ne lui avait enfanté aucun enfant, mais elle avait une servante Egyptienne, nommée Agar.
  • Tu nous as mis en opprobre chez nos voisins, en dérision, et en raillerie aupr?s de ceux qui habitent autour de nous.
  • Il monta de l? ? Bethel; et comme il montait par le chemin, des petits gar?ons sortirent de la ville, et en se moquant de lui, ils lui disaient: Monte chauve, monte chauve.
  • Et d'autres ont été éprouvés par des moqueries et par des coups, par des liens, et par la prison.
  • Car il est écrit qu'Abraham a eu deux fils, l'un de la servante, et l'autre de la femme libre.
  • Zajin. Jérusalem dans les jours de son affliction et de son pauvre état s?est souvenue de toutes ses choses désirables qu?elle avait depuis si longtemps, lorsque son peuple est tombé par la main de l?ennemi, sans qu?aucun la secour?t; les ennemis l?ont vue, et se sont moqués de ses sabbats.
  • Un jeune enfant m?me fait conna?tre par ses actions si son oeuvre sera pure, et si elle sera droite.
  • Je t'ai aussi exaucé touchant Isma?l: voici, je l'ai béni, et je le ferai cro?tre et multiplier tr?s-abondamment. Il engendrera douze Princes, et je le ferai devenir une grande nation.
  • Mais moi, je suis un ver, et non point un homme, l'opprobre des hommes, et le méprisé du peuple.
  • Mais maintenant ceux qui sont plus jeunes que moi, se moquent de moi; ceux-l? m?me dont je n'aurais pas daigné mettre les p?res avec les chiens de mon troupeau.
  • Or il arriva que Samballat, ayant appris que nous reb?tissions la muraille, fut fort indigné et fort irrité; et il se moqua des Juifs.
  • Mais ils se moquaient des messagers de Dieu, ils méprisaient ses paroles, et ils traitaient ses Proph?tes de Séducteurs, jusqu'? ce que la fureur de l'Eternel s'alluma tellement contre son peuple, qu'il n'y eut plus de rem?de.
  • Ainsi les courriers passaient de ville en ville par le pays d'Ephra?m et de Manassé, et ils all?rent m?me jusqu'? Zabulon; mais on se moquait d'eux, et on s'en raillait.

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