- « Je vis avec vous, dit-il, comme un émigré et un hôte. Cédez-moi une propriété funéraire parmi vous pour que j'ensevelisse la morte qui m'a quitté. » - Lire dans le contexte
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- Car nous sommes des étrangers devant toi, des hôtes comme tous nos pères ; nos jours sur la terre sont comme l'ombre, et sans espoir.
- Je donnerai en propriété perpétuelle à toi et à ta descendance après toi le pays de tes migrations, tout le pays de Canaan. Je serai leur Dieu. »
- Par la foi, il vint résider en étranger dans la terre promise, habitant sous la tente avec Isaac et Jacob, les cohéritiers de la même promesse.
- Il ne lui donna aucune propriété dans ce pays, pas même de quoi poser le pied, mais il promit de lui en donner la possession ainsi qu'à sa descendance après lui, bien qu'Abraham n'eût pas d'enfant.
- Je suis un étranger sur la terre, ne me cache pas tes commandements.
- En punissant la faute, tu corriges l'homme, comme une teigne tu corromps ce qu'il chérit : Oui, tout homme, c'est du vent ! Pause.
- La terre du Pays ne sera pas vendue sans retour, car le pays est à moi ; vous n'êtes chez moi que des émigrés et des hôtes ;
- dans la caverne du champ de Makpéla, face à Mamré au pays de Canaan, le champ acquis par Abraham d'Ephrôn le Hittite à titre de propriété funéraire.
- Ils le transportèrent au pays de Canaan et l'ensevelirent dans la caverne du champ de Makpéla, le champ acquis par Abraham d'Ephrôn le Hittite, à titre de propriété funéraire, en face de Mamré.
- Bien-aimés, je vous exhorte, comme des gens de passage et des étrangers, à vous abstenir des convoitises charnelles, qui font la guerre à l'âme.
- — avant que la poussière ne retourne à la terre, selon ce qu'elle était, et que le souffle ne retourne à Dieu qui l'avait donné.
- alors, on a peur de la montée, on a des frayeurs en chemin, tandis que l'amandier est en fleur, que la sauterelle s'alourdit et que le fruit du câprier éclate ; alors que l'homme s'en va vers sa maison d'éternité, et que déjà les pleureuses rôdent dans la rue ;
- Soit un homme qui engendre cent fois et vit de nombreuses années, mais qui, si nombreux soient les jours de ses années, ne se rassasie pas de bonheur et n'a même pas de sépulture. Je dis : L'avorton vaut mieux que lui,
- Alors on pouvait les compter, c'était une poignée d'immigrants.
- Je le sais : tu me ramènes à la mort, le rendez-vous de tous les vivants.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV