• Or Ca?n parla avec Abel son fr?re, et comme ils étaient aux champs, Ca?n s'éleva contre Abel son fr?re, et le tua. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Afin que vienne sur vous tout le sang juste qui a été répandu sur la terre, depuis le sang d'Abel le juste, jusques au sang de Zacharie, fils de Barachie, que vous avez tué entre le Temple et l'autel.
  • Malheur ? eux, car ils ont suivi le train de Ca?n, et ont couru, par un égarement tel que celui de Balaam, apr?s la récompense, et ont péri par une contradiction semblable ? celle de Coré.
  • Et que nous ne soyons point comme Ca?n, qui était du malin esprit et qui tua son fr?re. Mais pour quel sujet le tua-t-il? c'est parce que ses oeuvres étaient mauvaises, et que celles de son fr?re étaient justes.
  • Depuis le sang d'Abel, jusqu'au sang de Zacharie, qui fut tué entre l'autel et le Temple; oui, je vous dis qu'il sera redemandé ? cette nation.
  • Car le fils déshonore le p?re, la fille s'él?ve contre sa m?re, la belle- fille contre sa belle-m?re, et les domestiques de chacun sont ses ennemis.
  • Et Joab dit ? Hamasa: Te portes-tu bien, mon fr?re? Puis Joab prit de sa main droite la barbe de Hamasa pour le baiser.
  • Et ? Jésus, le Médiateur de la nouvelle alliance, et au sang de l'aspersion, qui prononce de meilleures choses que celui d'Abel.
  • Et Jésus lui dit: Judas, trahis-tu le Fils de l'homme par un baiser?
  • Celui qui hait se contrefait en ses l?vres, mais il cache la fraude au-dedans de soi.
  • ? Dieu! ne tueras-tu pas le méchant? c'est pourquoi, hommes sanguinaires, retirez-vous loin de moi.
  • Or ta servante avait deux fils, qui se sont querellés dans les champs, et il n'y avait personne qui les sépar?t; ainsi l'un a frappé l'autre, et l'a tué.
  • Les paroles de sa bouche ne sont qu'injustice et que fraude, il se garde d'?tre attentif ? bien faire.
  • Qui est-ce qui montera en la montagne de l'Eternel? et qui est-ce qui demeurera dans le lieu de sa sainteté?
  • Alors certainement tu pourras élever ton visage, comme étant sans tache; tu seras ferme, et tu ne craindras rien.
  • Samballat et Guésem envoy?rent vers moi, pour me dire: Viens, et que nous nous trouvions ensemble aux villages qui sont ? la campagne d'Ono. Or ils avaient comploté de me faire du mal.

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