- En l'an six cent de la vie de Noé, le second mois, le dix-septième jour du mois, ce jour-là jaillirent toutes les sources du grand abîme et les écluses du ciel s'ouvrirent. - Lire dans le contexte
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- Les sources de l'abîme et les écluses du ciel furent fermées ; - la pluie fut retenue de tomber du ciel
- Dieu fit le firmament, qui sépara les eaux qui sont sous le firmament d'avec les eaux qui sont au-dessus du firmament,
- Apportez intégralement la dîme au trésor, pour qu'il y ait de la nourriture chez moi. Et mettez-moi à l'épreuve, dit Yahvé Sabaot, pour voir si je n'ouvrirai pas en votre faveur les écluses du ciel et ne répandrai pas en votre faveur la bénédiction en surabondance.
- L'écuyer répondit à l'homme de Dieu : « A supposer même que Yahvé fasse des fenêtres dans le ciel, cette parole se réaliserait-elle ? » Elisée dit : « Tu le verras de tes yeux, mais tu n'en mangeras pas. »
- Car ainsi parle le Seigneur Yahvé : Quand je ferai de toi une ville détruite comme les villes dépeuplées, quand je ferai monter contre toi l'abîme et que les eaux abondantes te recouvriront,
- toi qui ouvris la source et le torrent, toi qui desséchas des fleuves intarissables ;
- Des étrangers percent les ravins en des lieux non fréquentés, et ils oscillent, suspendus, loin des humains.
- Quand les hommes se diront : Paix et sécurité ! c'est alors que tout d'un coup fondra sur eux la perdition, comme les douleurs sur la femme enceinte, et ils ne pourront y échapper.
- En ces jours qui précédèrent le déluge, on mangeait et on buvait, on prenait femme et mari, jusqu'au jour où Noé entra dans l'arche,
- Et le Seigneur Yahvé Sabaot... Il touche la terre et elle se dissout, et tous ses habitants sont en deuil ; elle monte comme le Nil, tout entière, et puis retombe comme le Nil d'Égypte.
- Quand il donne de la voix, c'est un mugissement d'eaux dans le ciel, il fait monter les nuages du bout de la terre ; il produit les éclairs pour l'averse et tire le vent de ses réservoirs.
- Moi, ne me craindrez-vous pas ? - Oracle de Yahvé - ne tremblerez-vous pas devant moi qui ai posé le sable pour limite à la mer, barrière éternelle qu'elle ne franchira point ses flots s'agitent, mais sont impuissants, ils mugissent, mais ne la franchissent pas.
- il rassemble l'eau des mers comme une digue, il met en réserve les abîmes.
- quand il condensa les nuées d'en haut, quand se gonflèrent les sources de l'abîme,
- Aux nuées d'en haut il commanda, il ouvrit les battants des cieux ;
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