- Mon juste par la foi vivra, mais s'il fait défection, mon âme ne trouve plus de satisfaction en lui. - Lire dans le contexte
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- C'est en lui en effet que la justice de Dieu est révélée, par la foi et pour la foi, selon qu'il est écrit : Celui qui est juste par la foi vivra.
- Il est d'ailleurs évident que, par la loi, nul n'est justifié devant Dieu, puisque celui qui est juste par la foi vivra.
- Il est impossible, en effet, que des hommes qui un jour ont reçu la lumière, ont goûté au don céleste, ont eu part à l'Esprit Saint,
- C'est de chez nous qu'ils sont sortis, mais ils n'étaient pas des nôtres. S'ils avaient été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous. Mais il fallait que fût manifesté que tous, tant qu'ils sont, ils ne sont pas des nôtres.
- Car si nous péchons délibérément après avoir reçu la pleine connaissance de la vérité, il ne reste plus pour les péchés aucun sacrifice,
- mais il n'a pas en lui de racine, il est l'homme d'un moment : dès que vient la détresse ou la persécution à cause de la Parole, il tombe.
- « Lorsque l'esprit impur est sorti d'un homme, il parcourt les régions arides en quête de repos, mais il n'en trouve pas.
- ceux qui se détournent du SEIGNEUR, qui ne le recherchent pas et ne le consultent pas.
- Le voici plein d'orgueil, il ignore la droiture, mais un juste vit par sa fidélité.
- Quant au juste qui se détourne de sa justice et commet le crime à la mesure de toutes les abominations qu'avait commises le méchant : peut-il les commettre et vivre ? De toute la justice qu'il avait pratiquée, on ne se souviendra pas. A cause de son infidélité et du péché qu'il a commis, c'est à cause d'eux qu'il mourra.
- Si un juste se détourne de sa justice et commet l'injustice, je le ferai trébucher : il mourra — c'est parce que tu ne l'auras pas averti qu'il mourra de son péché — ; on ne se souviendra plus de la justice qu'il avait pratiquée ; mais c'est à toi que je demanderai compte de son sang.
- Ils leur promettent la liberté alors qu'eux-mêmes sont esclaves de la pourriture, car on est esclave de ce par quoi on est dominé.
- Se trouvera-t-il enfin parmi vous quelqu'un pour fermer la porte, pour que vous n'embrasiez pas en pure perte mon autel ? Je ne prends aucun plaisir en vous, dit le SEIGNEUR le tout-puissant. Et l'offrande, je ne l'agrée pas de vos mains.
- Car le SEIGNEUR favorise son peuple ; il pare de victoire les humbles.
- Mais le SEIGNEUR s'intéresse à ceux qui le craignent, à ceux qui espèrent en sa fidélité.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV