- Aussi, en entrant dans le monde, le Christ dit : De sacrifice et d'offrande, tu n'as pas voulu, mais tu m'as façonné un corps. - Lire dans le contexte
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- Qu'ils sont grands, SEIGNEUR mon Dieu, les projets et les miracles que tu as faits pour nous ! Tu n'as pas d'égal. Je voudrais l'annoncer, le répéter, mais il y en a trop à dire.
- Par contre, lorsqu'il introduit le premier-né dans le monde, il dit : Et que se prosternent devant lui tous les anges de Dieu.
- Que me fait la multitude de vos sacrifices, dit le SEIGNEUR ? Les holocaustes de béliers, la graisse des veaux, j'en suis rassasié. Le sang des taureaux, des agneaux et des boucs, je n'en veux plus.
- Aussi bien le Seigneur vous donnera-t-il lui-même un signe : Voici que la jeune femme est enceinte et enfante un fils et elle lui donnera le nom d'Emmanuel.
- Alors j'ai dit : Me voici, car c'est bien de moi qu'il est écrit dans le rouleau du livre : Je suis venu, ô Dieu, pour faire ta volonté.
- Ainsi donc, puisque les enfants ont en commun le sang et la chair, lui aussi, pareillement, partagea la même condition, afin de réduire à l'impuissance, par sa mort, celui qui détenait le pouvoir de la mort, c'est-à-dire le diable,
- L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi et la puissance du Très-Haut te couvrira de son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint et sera appelé Fils de Dieu.
- Et le Verbe s'est fait chair et il a habité parmi nous et nous avons vu sa gloire, cette gloire que, Fils unique plein de grâce et de vérité, il tient du Père.
- C'est dans cette volonté que nous avons été sanctifiés par l'offrande du corps de Jésus Christ, faite une fois pour toutes.
- Mais, quand est venu l'accomplissement du temps, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme et assujetti à la loi,
- Car de nombreux séducteurs se sont répandus dans le monde : ils ne professent pas la foi à la venue de Jésus Christ dans la chair. Le voilà, le séducteur et l'antichrist !
- A ceci vous reconnaissez l'Esprit de Dieu : tout esprit qui confesse Jésus Christ venu dans la chair est de Dieu,
- lui qui, dans son propre corps, a porté nos péchés sur le bois, afin que, morts à nos péchés, nous vivions pour la justice ; lui dont les meurtrissures vous ont guéris.
- Ce n'est pas pour tes sacrifices que je t'accuse ; à perpétuité, tes holocaustes sont devant moi.
- Je déteste, je méprise vos pèlerinages, je ne puis sentir vos rassemblements,
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV