- Par la foi, il quitta l'Egypte sans craindre la colère du roi et, en homme qui voit celui qui est invisible, il tint ferme. - Lire dans le contexte
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- Dans la foi, ils moururent tous, sans avoir obtenu la réalisation des promesses, mais après les avoir vues et saluées de loin et après s'être reconnus pour étrangers et voyageurs sur la terre.
- « Qui t'a établi chef et juge sur nous ? dit l'homme. Penses-tu me tuer comme tu as tué l'Egyptien ? » Et Moïse prit peur et se dit : « L'affaire est donc connue ! »
- Au roi des siècles, au Dieu immortel, invisible et unique, honneur et gloire pour les siècles des siècles. Amen.
- Le Pharaon s'était approché. Les fils d'Israël levèrent les yeux : voici que l'Egypte s'était mise en route derrière eux ! Les fils d'Israël eurent grand-peur et crièrent vers le SEIGNEUR.
- La foi est une manière de posséder déjà ce que l'on espère, un moyen de connaître des réalités que l'on ne voit pas.
- Le Pharaon lui dit : « Va-t'en ! Garde-toi de revoir ma face. Le jour où tu reverras ma face, tu mourras ! »
- le seul qui possède l'immortalité, qui habite une lumière inaccessible, que nul homme n'a vu ni ne peut voir. A lui gloire et puissance éternelle. Amen.
- Notre objectif n'est pas ce qui se voit, mais ce qui ne se voit pas ; ce qui se voit est provisoire, mais ce qui ne se voit pas est éternel.
- Il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il endure tout.
- David en effet dit de lui : Je voyais constamment le Seigneur devant moi, car il est à ma droite pour que je ne sois pas ébranlé.
- Vous serez haïs de tous à cause de mon nom. Mais celui qui tiendra jusqu'à la fin, celui-là sera sauvé.
- mais ils n'ont pas en eux de racines, ils sont les hommes d'un moment ; et dès que vient la détresse ou la persécution à cause de la Parole, ils tombent.
- Mangez-la ainsi : la ceinture aux reins, les sandales aux pieds, le bâton à la main. Vous la mangerez à la hâte. C'est la Pâque du SEIGNEUR.
- Je garde sans cesse le SEIGNEUR devant moi, comme il est à ma droite, je suis inébranlable.
- Quand le Pharaon laissa partir le peuple, Dieu ne le conduisit pas par la route du pays des Philistins, bien qu'elle fût la plus directe. Dieu s'était dit : « Il ne faudrait pas que, à la vue des combats, le peuple renonce et qu'il revienne en Egypte ! »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV