- De fait, on a là, d'une part, l'abrogation du précepte antérieur en raison de sa déficience et de son manque d'utilité, - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Ce qui était impossible à la loi, car la chair la vouait à l'impuissance, Dieu l'a fait : à cause du péché, en envoyant son propre Fils dans la condition de notre chair de péché, il a condamné le péché dans la chair,
- Ne possédant que l'esquisse des biens à venir et non l'expression même des réalités, la loi est à jamais incapable, malgré les sacrifices, toujours les mêmes, offerts chaque année indéfiniment, de mener à l'accomplissement ceux qui viennent y prendre part.
- Si, en effet, cette première alliance avait été sans reproche, il ne serait pas question de la remplacer par une seconde.
- car la loi n'a rien mené à l'accomplissement, et, d'autre part, l'introduction d'une espérance meilleure, par laquelle nous approchons de Dieu.
- Si on était parvenu à un parfait accomplissement par le sacerdoce lévitique, car il était la base de la législation donnée au peuple, quel besoin y aurait-il eu encore de susciter un autre prêtre, dans la ligne de Melkisédeq, au lieu de le désigner dans la ligne d'Aaron ?
- mais maintenant que vous connaissez Dieu, ou plutôt que vous êtes connus de lui, comment pouvez-vous retourner encore à des éléments faibles et pauvres, dans la volonté de vous y asservir de nouveau ?
- c'est en lui qu'elle est pleinement accordée à tout homme qui croit.
- Ne vous laissez pas égarer par toutes sortes de doctrines étrangères. Car il est bon que le coeur soit fortifié par la grâce et non par des aliments, qui n'ont jamais profité à ceux qui en font une question d'observance.
- C'est là un symbole pour le temps présent : des offrandes et des sacrifices y sont offerts, incapables de mener à l'accomplissement, en sa conscience, celui qui rend le culte.
- L'exercice corporel, en effet, est utile à peu de choses, tandis que la piété, elle, est utile à tout. Ne possède-t-elle pas la promesse de la vie, de la vie présente comme de la vie future ?
- Dites-moi, vous qui voulez être soumis à la loi, n'entendez-vous pas ce que dit cette loi ?
- Voici donc ma pensée : un testament en règle a d'abord été établi par Dieu. La loi, venue quatre cent trente ans plus tard, ne l'abroge pas, ce qui rendrait vaine la promesse.
- Frères, partons des usages humains : un simple testament humain, s'il est en règle, personne ne l'annule ni ne le complète.
- Enlevons-nous par la foi toute valeur à la loi ? Bien au contraire, nous confirmons la loi !
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV