- Ainsi, la première ordonnance a été abolie à cause de sa faiblesse et de son inutilité; - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Car ce qui était impossible à la loi, parce qu'elle était affaiblie par la chair, Dieu l'a fait: envoyant son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché; et pour le péché, il a condamné le péché dans la chair;
- Or, la loi, ayant l'ombre des biens à venir, non l'image même des choses, ne peut jamais, par les mêmes sacrifices qu'on offre continuellement chaque année, rendre parfaits ceux qui s'approchent de ces sacrifices.
- En effet, si la première alliance avait été sans défaut, il n'y aurait pas eu lieu d'en établir une seconde.
- (Car la loi n'a rien amené à la perfection; ) mais une meilleure espérance, par laquelle nous nous approchons de Dieu, a été mise à sa place.
- Si donc la perfection s'était trouvée dans le sacerdoce lévitique (car c'est à celui-ci que se rapporte la loi donnée au peuple), qu'était-il encore besoin qu'il s'élevât un autre Sacrificateur, selon l'ordre de Melchisédec, et non selon l'ordre d'Aaron?
- Et maintenant que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu, comment retournez-vous encore à ces faibles et misérables rudiments, auxquels vous voulez vous assujettir de nouveau?
- Et que c'est par lui que tous ceux qui croient sont justifiés de toutes les choses dont vous n'avez pu être justifiés par la loi de Moïse.
- Ne vous laissez point entraîner par des doctrines diverses et étrangères; car il est bon que le cœur soit affermi par la grâce et non par des préceptes sur les viandes, qui n'ont servi de rien à ceux qui les ont suivis.
- Pendant lequel on offre des dons et des sacrifices, qui ne peuvent rendre parfait quant à la conscience celui qui fait le service,
- Car l'exercice corporel est utile à peu de chose; mais la piété est utile à toutes choses, ayant la promesse de la vie présente et de celle qui est à venir.
- Dites-moi, vous qui voulez être sous la loi, n'entendez-vous point la loi?
- Voici donc ce que je dis: Quant au contrat que Dieu a auparavant confirmé en Christ, la loi, qui n'est venue que quatre cent trente ans après, n'a pu l'annuler, pour abolir la promesse.
- Frères, je parle à la manière des hommes: Lorsqu'un contrat a été confirmé par un homme, personne ne le casse, ou n'y ajoute rien.
- Anéantissons-nous donc la loi par la foi? Nullement! Au contraire, nous établissons la loi.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV