• Mais ceux-ci, tous ensemble, ne lanceront-ils pas contre lui des formules d'une ironie mordante ? On dira : MALHEUR ! Il accumule ce qui n'est pas à lui ! Jusques à quand ? Il se charge d'une dette de plus en plus lourde. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Alors il prononça son incantation en ces termes : « Balaq m'a fait venir d'Aram ; des monts d'Orient le roi de Moab m'a appelé : “Viens ! Lance-moi des imprécations contre Jacob ! Viens ! Voue Israël à la réprobation ! ”
  • La fortune qu'il avait avalée, la voilà vomie : à son ventre, Dieu la fera rejeter.
  • Sous l'effet du courroux du SEIGNEUR, elle n'est plus habitée, elle devient tout entière une étendue désolée ; tous ceux qui passent près de Babylone sont stupéfaits : à la vue de tels dégâts, ils poussent des cris d'effroi.
  • En ce jour-là, on lancera contre vous un pamphlet, on entonnera une complainte — c'est déjà fait —, on dira : « Nous sommes complètement dévastés. On aliène la part de mon peuple. Comment se fait-il qu'on me l'enlève ? Entre les rebelles, on partage nos champs. »
  • Voici ce que je dis, frères : le temps est écourté. Désormais, que ceux qui ont une femme soient comme s'ils n'en avaient pas,
  • Mais Dieu lui dit : “Insensé, cette nuit même on te redemande ta vie, et ce que tu as préparé, qui donc l'aura ? ”
  • Ceci ne vient-il pas du SEIGNEUR, le tout-puissant : Les peuples peinent pour du feu, les nations s'éreintent en vain ;
  • celui-là les tire tous à l'hameçon, il les drague au filet, les ramasse au chalut. Alors, il est joyeux, il exulte,
  • Tout à la violence, le voilà qui vient, le visage tendu vers l'avant ; il a entassé des captifs comme du sable.
  • Du milieu du séjour des morts, les chefs des héros avec leurs aides lui parleront. Les incirconcis, percés par l'épée, sont descendus, ils sont couchés dans la tombe.
  • Il m'a dévorée, il m'a sucée, Nabuchodonosor, roi de Babylone, il m'a laissée comme un plat léché. Comme un monstre, il m'a engloutie, il s'est rempli le ventre de ma moelle et m'a rejetée.
  • A quoi bon dépenser votre argent pour ce qui ne nourrit pas, votre labeur pour ce qui ne rassasie pas ? Ecoutez donc, écoutez-moi, et mangez ce qui est bon ; que vous trouviez votre jouissance dans des mets savoureux :
  • Il s'attache à de la cendre, son coeur abusé l'égare : il ne se verra pas délivré ! Il ne dira pas pour autant : « N'est-ce pas tromperie, ce que j'ai en main ? »
  • tu entonneras cette chanson sur le roi de Babylone : Comment a-t-il fini, l'oppresseur ? Comment a fini son arrogance ?
  • Pour combien de temps, SEIGNEUR, ces impies ? combien de temps les impies vont-ils triompher ?

En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV