- Le SEIGNEUR s'est-il enflammé contre des rivières ? Ta colère s'adresse-t-elle aux rivières, ta fureur à la mer, lorsque tu montes sur tes chevaux, sur tes chars victorieux ? - Lire dans le contexte
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- pourquoi loucher, montagnes bossues, sur la montagne où Dieu a désiré habiter ? Mais oui ! Le SEIGNEUR y demeurera toujours.
- Il déplia les cieux et descendit, un épais nuage sous les pieds.
- Mer, pourquoi t'enfuir ? Jourdain, pourquoi refluer ?
- Tu as frayé le chemin de tes chevaux dans la mer, dans le bouillonnement des eaux puissantes.
- Proclamation sur l'Egypte. Voici le SEIGNEUR monté sur un nuage rapide : il vient en Egypte. Les idoles d'Egypte tremblent devant lui et le courage de l'Egypte fond dans ses entrailles.
- A cette vue, la mer s'enfuit, le Jourdain reflua,
- Il étage ses demeures au-dessus des eaux ; des nuages il fait son char ; il marche sur les ailes du vent.
- Mais les justes se réjouissent, ils exultent devant Dieu, au comble de la joie :
- Nul n'est semblable à Dieu, lui qui vient à ton aide, Yeshouroun, en chevauchant les cieux, et les nuages dans sa puissance.
- Comment ! Je suis venu, et personne... J'ai appelé, et personne n'a répondu ? Est-ce que ma main serait courte, trop courte pour affranchir ? Est-ce que je ne disposerais d'aucune énergie pour délivrer ? Voici que par ma menace je dévaste la mer, je réduis en désert ses courants ; faute d'eau, leurs poissons empestent et crèvent de soif.
- Les armées du ciel le suivaient sur des chevaux blancs, vêtues d'un lin blanc et pur.
- Et je vis : c'était un cheval blanc. Celui qui le montait tenait un arc. Une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre.
- Réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence ! Tais-toi ! » Le vent tomba, et il se fit un grand calme.
- Il fulmine contre la mer et la met à sec ; il tarit toutes les rivières. Ils dépérissent, le Bashân et le Carmel ; la flore du Liban dépérit.
- alors les eaux qui descendent d'amont s'arrêtèrent, elles se dressèrent en une seule masse, très loin, à Adam, la ville qui est à côté de Çartân, et celles qui descendent vers la mer de la Araba, la mer du Sel, furent complètement coupées, et le peuple traversa en face de Jéricho.
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