• L'Eternel était-il courroucé contre les fleuves? ta col?re était-elle contre les fleuves? ta fureur était-elle contre la mer, lorsque tu montas sur tes chevaux et sur tes chariots pour délivrer. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • La chevalerie de Dieu se compte par vingt-mille, par des milliers redoublés; le Seigneur est au milieu d'eux; c'est un Sina? en Sainteté.
  • Il était monté sur un Chérubin, et il volait; il était porté sur les ailes du vent.
  • ? mer! qu'avais-tu pour t'enfuir? et toi Jourdain, pour retourner en arri?re?
  • Tu marchas avec tes chevaux par la mer; les grandes eaux ayant été amoncelées.
  • La charge de l'Egypte. Voici, l'Eternel s'en va monter sur une nuée lég?re, et il entrera dans l'Egypte; et les idoles d'Egypte s'enfuiront de toutes parts de devant sa face, et le coeur de l'Egypte se fondra au milieu d'elle.
  • La mer le vit, et s'enfuit, le Jourdain s'en retourna en arri?re.
  • Il planchéie ses hautes chambres entre les eaux; il fait des grosses nuées son chariot, il se prom?ne sur les ailes du vent.
  • Chantez ? Dieu, psalmodiez son Nom, exaltez celui qui est monté sur les cieux; son Nom, est l'Eternel; et égayez-vous en sa présence.
  • ? Droiturier, il n'y a point de Dieu semblable au Dieu Fort, qui vient ? ton aide, porté sur les cieux et sur les nuées en sa Majesté.
  • Pourquoi suis-je venu, et il ne s'est trouvé personne? j'ai crié, et il n'y a personne qui ait répondu. Ma main est-elle en quelque sorte raccourcie, tellement que je ne puisse pas racheter? ou n'y a-t-il plus de force en moi pour délivrer? Voici, je fais tarir la mer, quand je la tance; je réduis les fleuves en désert, tellement que leur poisson devient puant, étant mort de soif, parce qu'il n'y a point d'eau.
  • Et les armées qui sont au Ciel le suivaient sur des chevaux blancs, v?tues de fin lin blanc, et pur.
  • Et je regardai, et je vis un cheval blanc; et celui qui était monté dessus avait un arc, et il lui fut donné une couronne; et il sortit victorieux, et afin de vaincre.
  • Mais lui étant réveillé, tan?a le vent, et dit ? la mer: tais-toi, sois tranquille; et le vent cessa, et il se fit un grand calme.
  • Il tance la mer, et la fait tarir, et il dess?che tous les fleuves; Basan et Carmel sont rendus languissants, la fleur du Liban est aussi rendue languissante.
  • Les eaux qui descendaient d'en-haut, s'arr?t?rent, et s'élev?rent en un monceau fort loin, depuis la ville d'Adam, qui est ? c?té de Tsartan; et celles d'embas, qui descendaient vers la mer de la campagne, qui est la mer salée, défaillirent et s'écoul?rent, et le peuple passa vis-?-vis de Jérico.

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