- Pauvre de moi ! Quel désastre ! Incurable est ma blessure ! Moi je dis : c'est bien là mon mal et je dois le porter. - Lire dans le contexte
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- L'indignation du SEIGNEUR, je dois la supporter — car j'ai péché contre lui — jusqu'à ce qu'il prenne ma cause en main et rétablisse mon droit. Il me fera sortir à la lumière, et je contemplerai son oeuvre de justice.
- De quoi se plaindrait l'homme vivant, debout en dépit de ses fautes ?
- Tu leur diras cette parole : Mes yeux fondent en larmes, nuit et jour, sans trêve : un grand désastre a brisé la vierge, mon peuple, un coup meurtrier.
- J'entends comme les plaintes d'une femme en travail, comme les cris d'angoisse d'une jeune maman, les cris de la belle Sion qui suffoque, qui tend les mains : Pauvre de moi ! je suis à bout de souffle face aux tueurs.
- délivre-moi de tous mes péchés, ne m'expose pas à l'insulte des fous.
- mes yeux ruissellent car mon peuple, cette belle, est brisé.
- et je dis : C'en est fini de ma continuité, de mon espoir qui venait du SEIGNEUR.
- Mes yeux sont consumés de larmes ; mon ventre en est remué ; je suis vidé de ma force, elle est par terre, car mon peuple, cette belle, est brisé quand défaillent bambin et nourrisson sur les places de la Cité.
- « Rien de tel pour vous tous qui passez sur le chemin ; regardez et voyez s'il est douleur comme ma douleur, celle qui me fait si mal, celle que le SEIGNEUR inflige au jour de son ardente colère.
- Elle pleure et pleure dans la nuit : des larmes plein les joues ; pour elle pas de consolateur parmi tous ses amants. Tous ses compagnons la trahissent : ils deviennent ses ennemis.
- Espoir d'Israël, SEIGNEUR, tous ceux qui t'abandonnent sont couverts de honte — ceux qui s'écartent de moi sont condamnés —, car ils abandonnent la source d'eau vive : le SEIGNEUR.
- Que n'ai-je au désert un gîte de caravaniers ? J'abandonnerais mon peuple, je le planterais là : tous sont des adultères, un ramassis de traîtres.
- A cause du désastre de mon peuple, je suis brisé. Je suis dans le noir : la désolation me saisit !
- Mon ventre ! mon ventre ! je me tords de douleur ! Les parois de mon coeur ! C'est le tumulte en moi, je ne puis me taire, car je perçois l'alerte du cor, le hourra de guerre.
- J'attends le SEIGNEUR qui cache sa face à la maison de Jacob, j'espère en lui.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV