- La foule des pasteurs a saccagé ma vigne, piétiné mon champ, fait de ce champ merveilleux un désert désolé. - Lire dans le contexte
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- C'est pour peu de temps que ton peuple saint est entré dans son héritage ; nos agresseurs l'ont écrasé, ton sanctuaire !
- Que je chante pour mon ami, le chant du bien-aimé et de sa vigne : Mon bien-aimé avait une vigne sur un coteau plantureux.
- C'est vers elle que viennent des pasteurs avec leurs troupeaux. Contre elle, tout autour, ils plantent leurs tentes ; chacun broute sa parcelle.
- Moi je m'étais dit : « Oh ! comme je voudrais te distinguer parmi les fils, te donner un pays de cocagne, un patrimoine qui soit, parmi les nations, d'une beauté féerique. » Et je disais : « Vous m'appellerez “Mon Père”, vous ne vous détournerez plus de moi. »
- Dieu le tout-puissant, fais-nous revenir ; que ton visage s'éclaire et nous serons sauvés.
- Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le de côté et ne le mesure pas, car il a été livré aux nations qui fouleront aux pieds la cité sainte pendant quarante-deux mois.
- Mettez-vous en tête que vous n'avez pas à préparer votre défense.
- Et il se mit à dire au peuple cette parabole : « Un homme planta une vigne, il la donna en fermage à des vignerons et partit pour longtemps.
- L'adversaire étend la main sur tous ses charmes. Oui, dans son sanctuaire elle voit entrer des nations auxquelles tu as commandé de ne pas entrer dans l'assemblée qui est à toi.
- ... L'état-major du roi de Babylone vint siéger sur la grand-place : Nergal-Sarècèr, de Sîn-Maguir, Nebou-Sarsekim, chef du personnel de la cour, Nergal-Sarècèr, le généralissime, et tous les autres officiers de l'état-major.
- je donne ordre de mobiliser tous les peuples du nord — oracle du SEIGNEUR —, en faisant appel à Nabuchodonosor, roi de Babylone, mon serviteur, et je les amène contre ce pays, contre ses habitants — et contre toutes ces nations voisines —, je me les réserve et je les transforme pour toujours en étendues désolées qui arrachent des cris d'effroi, en champs de ruines.
- Malheur ! Des pasteurs qui laissent dépérir à l'abandon le troupeau de mon pâturage — oracle du SEIGNEUR !
- alors j'ai déshonoré les sacro-saintes autorités, j'ai voué Jacob à l'interdit et Israël aux sarcasmes.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV