- Sur toutes les pistes du désert s'avancent les dévastateurs. Une épée à la solde du SEIGNEUR dévore d'un bout à l'autre de la terre : il n'y a plus de paix pour personne. - Lire dans le contexte
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- Quel malheur ! Epée du SEIGNEUR ! Vas-tu enfin te mettre au repos ? Rentre dans ton fourreau ! Détends-toi ! Du calme !
- s'ils se rendent en captifs au-devant de leurs ennemis, je donnerai l'ordre à l'épée de les y tuer ; j'aurai l'oeil sur eux, pour le mal et non pour le bien.
- L'épée du SEIGNEUR est pleine de sang, rassasiée de graisse, du sang des agneaux et des boucs, de la graisse des rognons de béliers, car il y a pour le SEIGNEUR un sacrifice à Boçra, un grand massacre au pays d'Edom.
- Ou bien, si je fais venir l'épée contre ce pays, si je dis : Que l'épée passe dans ce pays, qu'elle en retranche hommes et bêtes,
- A ce moment-là, on dira à ce peuple et à Jérusalem : Un vent embrasé sur les pistes, dans le désert, est en route vers mon peuple, non pour vanner, non pour nettoyer :
- Voici, en effet, le SEIGNEUR : c'est dans du feu qu'il vient, ses chars pareils à un typhon, pour régler sa dette de colère par de la fureur et sa dette de menaces par les flammes du feu.
- Sur son manteau et sur sa cuisse il porte un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs.
- Alors surgit un autre cheval, rouge feu. A celui qui le montait fut donné le pouvoir de ravir la paix de la terre pour qu'on s'entre-tue, et il lui fut donné une grande épée.
- Il y aura alors en effet une grande détresse, telle qu'il n'y en a pas eu depuis le commencement du monde jusqu'à maintenant et qu'il n'y en aura jamais plus.
- Et vous aussi, les Nubiens ! — Mon épée les a transpercés.
- Tu brûleras un tiers de tes poils au milieu de la ville, quand seront accomplis les jours du siège ; tu prendras le deuxième tiers que tu frapperas par l'épée, tout autour de la ville ; le dernier tiers, tu le disperseras au vent — je tirerai l'épée contre eux.
- Lève les yeux vers les pistes et vois : y a-t-il un endroit où tu ne te sois pas accouplée ? En bordure des chemins, tu t'asseyais pour les attendre, tel l'Arabe dans le désert. Tu as profané la terre par ton inconduite, ton immoralité.
- Eh bien ! ainsi parle le SEIGNEUR : Puisque vous ne m'avez pas écouté en proclamant l'affranchissement de vos frères et de vos compatriotes, je vais, moi, proclamer votre affranchissement — oracle du SEIGNEUR — en vous laissant à l'épée, à la peste et à la famine. Je fais de vous un exemple terrifiant pour tous les royaumes de la terre ;
- Et s'ils te demandent « Où devons-nous aller ? », tu leur répondras : Ainsi parle le SEIGNEUR : A la mort, qui est pour la mort ! A l'épée, qui est pour l'épée ! A la famine, qui est pour la famine ! A la déportation, qui est pour la déportation !
- Femmes, écoutez la parole du SEIGNEUR ! Que vos oreilles reçoivent la parole de sa bouche ! Apprenez la complainte à vos filles, la lamentation à vos compagnes !
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV