• Les notables envoient le petit peuple à la corvée d'eau : arrivé aux mares, on ne trouve plus d'eau ; on s'en retourne, les récipients vides, embarrassé, penaud, décontenancé. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • David montait par la montée des Oliviers, il montait en pleurant ; il avait la tête voilée et il marchait nu-pieds. Tout le peuple qui l'accompagnait s'était voilé la tête. Ils montaient, montaient en pleurant.
  • SEIGNEUR, daigne me délivrer ! SEIGNEUR, viens vite à mon aide !
  • N'écoutez pas Ezékias, car ainsi parle le roi d'Assyrie : “Liez-vous d'amitié avec moi, rendez-vous à moi, et chacun de vous mangera les fruits de sa vigne et de son figuier et boira l'eau de sa citerne,
  • deux, trois villes, titubant, étaient allées vers une autre ville pour boire de l'eau, sans être désaltérées, mais vous n'êtes pas revenus jusqu'à moi — oracle du SEIGNEUR.
  • Oui, il est double, le méfait commis par mon peuple : ils m'abandonnent, moi, la source d'eau vive, pour se creuser des citernes, des citernes fissurées qui ne retiennent pas l'eau.
  • Même les bêtes sauvages se tournent vers toi : les cours d'eau sont à sec et le feu dévore les pâturages de la steppe.
  • Mais le SEIGNEUR est avec moi comme un guerrier redoutable ; mes persécuteurs trébucheront et n'arriveront pas à leurs fins. Ils seront couverts de honte — ils ne réussiront pas. Déshonneur à jamais ! On ne l'oubliera pas.
  • A cause du sol craquelé faute de pluie, les paysans sont embarrassés, décontenancés ;
  • Comme est confondu un voleur pris sur le fait, ainsi sont confondus les gens d'Israël, — eux, leurs rois, leurs ministres, leurs prêtres et leurs prophètes.
  • Les voilà tous ensemble honteux, couverts d'outrages, oui, sous les outrages ils s'en vont, les faiseurs de statues ;
  • Que mes accusateurs soient vêtus de déshonneur et couverts de leur honte comme d'un manteau !
  • On a honte d'avoir eu confiance : quand on y arrive, on est confondu.
  • Puis Mardochée retourna à la porte royale, tandis que Haman se précipitait chez lui, abattu, la tête basse.
  • Akhab dit à Ovadyahou : « Va par le pays, vers toutes les sources d'eau, dans tous les ravins : peut-être trouverons-nous de l'herbe et pourrons-nous garder en vie chevaux et mulets et n'aurons-nous pas à abattre une partie des bêtes. »
  • Au bout d'un certain temps, le torrent fut à sec, car il n'y avait pas eu de pluie sur le pays.

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