- Ils disent au bois : « Tu es mon père ! », à la pierre : « C'est toi qui m'as enfanté. » Oui, ils me présentent la nuque et non la face ; mais dès qu'ils sont malheureux, ils me disent : « Lève-toi ! Sauve-nous ! » - Lire dans le contexte
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- SEIGNEUR, dans la détresse on a recours à toi. Quand tu sévis, on se répand en prières.
- A quoi bon une statue, sculptée par l'artisan, ou fondue pour enseigner la fausseté, si l'artisan de cet ouvrage se confie en lui pour en faire des idoles muettes ?
- Ce n'est pas du fond du coeur qu'ils crient vers moi : quand ils se lamentent sur leurs couches, qu'ils se font des incisions pour du blé et du vin nouveau, c'est contre moi qu'ils se montrent récalcitrants.
- Je m'en irai, je retournerai chez moi, jusqu'à ce qu'ils s'avouent coupables et qu'ils recherchent ma face. Dans leur détresse, ils se mettront en quête de moi.
- C'est pourquoi, ainsi parle le Seigneur DIEU : Parce que tu m'as oublié et que tu m'as rejeté derrière toi, porte toi-même le poids de ton impudicité et de tes débauches. »
- Il m'emmena vers le parvis intérieur de la Maison du SEIGNEUR ; voici qu'à l'entrée du temple du SEIGNEUR, entre le vestibule et l'autel, il y avait environ vingt-cinq hommes, le dos tourné au temple du SEIGNEUR, et le visage vers l'orient ; ils se prosternaient vers l'orient, devant le soleil.
- ils me présentent la nuque non la face ; bien que je les instruise inlassablement, ils n'écoutent pas et ils n'acceptent pas la leçon ;
- Toi qui habites le Liban, qui as ton nid dans les cèdres, comme tu gémis quand surviennent les douleurs, les spasmes d'une femme en couches !
- Semblable au vent d'est, je les disperse en face de l'ennemi ; au jour de leur défaite, je leur montre ma nuque et non ma face.
- Tous, sans exception, s'abrutissent et perdent le sens. Formé par les absurdités, on en arrive là.
- Une ânesse sauvage habituée à la steppe ! En chaleur, elle renifle le vent ; son rut, qui peut le refouler ? Tous ceux qui la cherchent n'ont pas à se fatiguer, ils la trouvent en son mois.
- Certains gaspillent l'or de leur bourse, pèsent l'argent au fléau, engagent un mouleur pour qu'il en fasse un dieu, et ils s'inclinent et ils se prosternent !
- Ceux qui façonnent des idoles ne sont tous que nullité, les figurines qu'ils recherchent ne sont d'aucun profit, leurs témoins, eux ne voient rien, et, pour leur honte, ils n'ont connaissance de rien !
- Leurs idoles sont d'argent et d'or, faites de main d'homme :
- Quand Dieu les tuait, eux le cherchaient ; ils se reprenaient, ils se tournaient vers lui,
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