- Ils n'ont pas dit : « Où est Yahvé qui nous fit monter du pays d'Egypte et nous fit marcher dans le désert, dans une terre aride et ravinée, dans une terre desséchée et obscure, terre que personne ne parcourt, où nul homme ne se fixe ? » - Lire dans le contexte
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- Au pays du désert, il le trouve, dans la solitude lugubre de la steppe. Il l'entoure, il l'élève, il le garde comme la prunelle de son oeil.
- Pourtant moi je suis Yahvé, ton Dieu, depuis le pays d'Égypte, de Dieu, excepté moi, tu n'en connais pas, et de sauveur, il n'en est pas en dehors de moi.
- Mais il s'est souvenu des jours d'autrefois, de Moïse, son serviteur. Où est-il, celui qui les sauva de la mer, le pasteur de son troupeau ? Où est celui qui mettait au milieu d'eux son Esprit saint ?
- que tout cela n'élève pas ton coeur ! N'oublie pas alors Yahvé ton Dieu qui t'a fait sortir du pays d'Égypte, de la maison de servitude ;
- avant que je m'en aille sans retour au pays des ténèbres et de l'ombre épaisse,
- Le peuple qui demeurait dans les ténèbres a vu une grande lumière ; sur ceux qui demeuraient dans la région sombre de la mort, une lumière s'est levée.
- Jacob s'enfuit aux campagnes d'Aram, Israël servit pour une femme, pour une femme, il garda les troupeaux.
- Mais s'ils disent : « Par Yahvé vivant », c'est pour un mensonge qu'ils jurent.
- Les prêtres n'ont pas dit : « Où est Yahvé ? » Les dépositaires de la Loi ne m'ont pas connu ; les pasteurs se sont révoltés contre moi ; les prophètes ont prophétisé par Baal, ils ont suivi des Impuissants.
- Va crier ceci aux oreilles de Jérusalem. Ainsi parle Yahvé : Je me rappelle l'affection de ta jeunesse, l'amour de tes fiançailles, alors que tu marchais derrière moi au désert, dans une terre qui n'est pas ensemencée.
- Et pourtant, Yahvé, tu es notre père, nous sommes l'argile, tu es notre potier, nous sommes tous l'oeuvre de tes mains.
- Il prit le manteau d'Elie et il frappa les eaux en disant : « Où est Yahvé, le Dieu d'Elie ? » Il frappa les eaux, qui se divisèrent d'un côté et de l'autre, et Elisée traversa.
- Tu as retenu les paupières de mes yeux, je suis troublé, je ne puis parler ;
- Passerais-je un ravin de ténèbre, je ne crains aucun mal car tu es près de moi ; ton bâton, ta houlette sont là qui me consolent.
- mais nul ne pense à dire : « Où est Dieu, mon auteur, lui qui fait éclater dans la nuit les chants d'allégresse,
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