- Eh bien, ainsi parle le SEIGNEUR le tout-puissant à Yoyaqim, fils de Josias, roi de Juda : On n'entonne pas pour lui l'élégie : « Quel malheur, mon frère ! Quel malheur, ma soeur ! » On n'entonne pas pour lui l'élégie : « Quel malheur, mon maître ! Quel malheur, Son Excellence ! » - Lire dans le contexte
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- Il déposa le cadavre dans son propre tombeau, et l'on célébra son deuil : « Hélas, mon frère ! »
- Dans ce pays, les grands comme les petits mourront ; ils ne seront pas ensevelis ; pour eux on n'entonnera pas l'élégie, on ne fera ni incisions ni tonsure.
- Ils mourront torturés par la faim, ils n'auront ni funérailles ni sépulture ; ils deviendront du fumier sur le sol. Ils périront par l'épée et par la famine : leurs cadavres deviendront la pâture des oiseaux du ciel et des bêtes de la terre.
- Ne pleurez pas celui qui est mort, pour lui, pas de manifestations de deuil ! Mais pleurez, pleurez celui qui s'en va, car il ne reverra plus son pays natal.
- Que de peine j'ai pour toi, Jonathan, mon frère ! Je t'aimais tant ! Ton amitié était pour moi une merveille plus belle que l'amour des femmes.
- Puis le roi fit une complainte sur Avner. Il dit : « Fallait-il qu'Avner mourût de la mort de l'infâme ?
- Les jours passèrent et, vers l'époque où se terminait la deuxième année, ses entrailles sortirent sous l'effet de la maladie, en sorte qu'il mourut dans de terribles souffrances. Son peuple n'alluma pas de feu pour lui comme on en avait allumé pour ses pères.
- Jérémie composa une complainte sur Josias ; tous les chanteurs et les chanteuses ont parlé de Josias dans leurs complaintes jusqu'à ce jour ; on établit cette pratique en Israël et on inséra ces chants parmi les complaintes.
- Tu mourras paisiblement ; on brûlera des parfums pour toi comme on en a brûlé pour tes pères, tes prédécesseurs sur le trône royal ; on entonnera pour toi l'élégie : “Quel malheur mon maître ! ” Oui, je fais cette déclaration — oracle du SEIGNEUR. »
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