- Tous tes pasteurs, le vent les envoie paître, tes amants vont en exil. Oui, honte et déshonneur alors te couvriront à cause de toute ta méchanceté. - Lire dans le contexte
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- Malheur au berger vaurien qui délaisse le troupeau ! Que l'épée lui déchire le bras et lui crève l'oeil droit ! Que son bras se dessèche, oui, qu'il se dessèche ! Que son oeil droit s'éteigne, oui, qu'il s'éteigne !
- Malheur ! Des pasteurs qui laissent dépérir à l'abandon le troupeau de mon pâturage — oracle du SEIGNEUR !
- La foule des pasteurs a saccagé ma vigne, piétiné mon champ, fait de ce champ merveilleux un désert désolé.
- Les pasteurs sont abrutis : ils ne cherchent pas le SEIGNEUR. C'est pourquoi ils sont sans compétence et tout le troupeau est à l'abandon.
- Une chose désolante, monstrueuse, se passe dans le pays :
- Ephraïm a beau prospérer au milieu de ses frères, un vent d'est viendra, un vent du SEIGNEUR, montant du désert : la source tarira, la fontaine sera mise à sec — on dépouillera le trésor de tous les objets précieux.
- Nul n'en appelle à ton nom, nul ne se réveille pour t'en saisir, car tu nous as caché ton visage, tu as laissé notre perversité nous prendre en main pour faire de nous des dissolus.
- Mais le SEIGNEUR est avec moi comme un guerrier redoutable ; mes persécuteurs trébucheront et n'arriveront pas à leurs fins. Ils seront couverts de honte — ils ne réussiront pas. Déshonneur à jamais ! On ne l'oubliera pas.
- « Fils d'homme, prononce un oracle contre les bergers d'Israël, prononce un oracle et dis-leur, à ces bergers : Ainsi parle le Seigneur DIEU : Malheur aux bergers d'Israël qui se paissent eux-mêmes ! N'est-ce pas le troupeau que les bergers doivent paître ?
- Comme est confondu un voleur pris sur le fait, ainsi sont confondus les gens d'Israël, — eux, leurs rois, leurs ministres, leurs prêtres et leurs prophètes.
- De là aussi tu sortiras les mains sur la tête. Oui, le SEIGNEUR méprise ton système de sécurité ; ce n'est pas ainsi que tu réussiras...
- A ce moment-là, on dira à ce peuple et à Jérusalem : Un vent embrasé sur les pistes, dans le désert, est en route vers mon peuple, non pour vanner, non pour nettoyer :
- La tempête du SEIGNEUR, la fureur éclate, un ouragan va foncer, il tourbillonne sur la tête des coupables.
- Un vent les enveloppera de ses ailes et ils rougiront de leurs sacrifices.
- « Hommes à la nuque raide, incirconcis de coeur et d'oreilles, toujours vous résistez à l'Esprit Saint ; vous êtes bien comme vos pères.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV