- Voici ce que me dit le SEIGNEUR, le Dieu d'Israël : « Prends de ma main cette coupe de vin, de vin capiteux, et offre-la à toutes les nations chez lesquelles je t'envoie. - Lire dans le contexte
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- C'est Dieu qui juge : il abaisse l'un, il relève l'autre.
- Resurgis, resurgis, mets-toi debout, Jérusalem, toi qui as bu de la main du SEIGNEUR le calice de sa fureur ; la coupe du calice de vertige tu l'as bue, tu l'as vidée.
- Qu'il voie de ses yeux sa ruine et qu'il s'abreuve à la fureur du Puissant !
- il boira lui aussi du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il connaîtra les tourments dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l'agneau.
- Ainsi parle ton Maître, le SEIGNEUR, ton Dieu, qui épouse la querelle de son peuple : Voici que j'ai retiré de ta main le calice du vertige, la coupe du calice de ma fureur désormais tu n'auras plus à la boire.
- Qu'il fasse pleuvoir des filets sur les méchants ! Feu, soufre et tourmente, telle est la coupe qu'ils partagent !
- Tu leur diras cette parole : « Ainsi parle le SEIGNEUR, le Dieu d'Israël : Toute cruche, on la remplit de vin. » Et si l'on rétorque : « Mais nous savons bien que toute cruche, on la remplit de vin ! »,
- Une coupe d'or dans la main du SEIGNEUR, c'était Babylone ! Elle enivrait toute la terre. Les nations ont bu de son vin ; elles en délirent.
- Et l'ange jeta sa faucille sur la terre, il vendangea la vigne de la terre et jeta la vendange dans la grande cuve de la colère de Dieu.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV