- Personne ne prend en main ta cause, pour ton ulcère, pas de remèdes efficaces ! - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Monte en Galaad et cherche du baume, vierge Egypte. C'est en vain que tu multiplies les remèdes, rien ne peut te guérir.
- N'y a-t-il pas de baume en Galaad, pas de médecin là-bas ? Pourquoi ne voit-on pas poindre la convalescence de mon peuple ?
- L'Assyrie ne peut nous sauver, nous ne monterons pas sur un cheval et nous ne dirons plus “Notre Dieu” à l'ouvrage de nos mains — ô toi par qui l'orphelin est pris en pitié ! »
- « Venez, retournons vers le SEIGNEUR. C'est lui qui a déchiré et c'est lui qui nous guérira, il a frappé et il pansera nos plaies.
- J'ai cherché parmi eux un homme qui relève la muraille, qui se tienne devant moi, sur la brèche, pour le bien du pays, afin que je ne le détruise pas : je ne l'ai pas trouvé.
- Mais je ferai poindre sa convalescence, puis sa guérison ; je les guérirai, je leur dévoilerai les richesses de la paix et de la sécurité.
- Pour toi, je fais poindre la convalescence, je te guéris de tes blessures — oracle du SEIGNEUR —, parce qu'on te nomme : « Rebut, cette Sion dont personne ne se soucie. »
- Guéris-moi, SEIGNEUR, et je serai guéri ; sauve-moi, et je serai sauvé, car c'est toi mon titre de gloire.
- As-tu réprouvé Juda, es-tu dégoûté de Sion ? Pourquoi nous frapper d'un mal incurable ? Nous attendions la santé, mais rien de bon, le moment où nous serions guéris, mais c'est la peur qui vient !
- Il a vu qu'il n'y avait personne, il s'est désolé que personne n'intervienne ; alors c'est son bras qui l'a mené au salut et sa justice qui l'a soutenu.
- De la plante des pieds à la tête, rien d'intact : blessures, plaies, meurtrissures récentes, ni nettoyées, ni bandées, ni adoucies avec de l'huile.
- Quand je suis à bout de souffle, c'est toi qui sais où je vais : sur la route où je marche, on m'a tendu un piège.
- Il décida de les exterminer, mais Moïse, son élu, se tenant sur la brèche devant lui, détourna sa fureur destructrice.
- Mais s'il reste impassible, qui le condamnera, s'il cache sa face, qui le percera à nu ? Il veille pourtant sur les nations comme sur les hommes,
- C'est lui qui, en faisant souffrir, répare, lui dont les mains, en brisant, guérissent.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV