- Ces gens prétendent, tu le vois bien, que le SEIGNEUR a rejeté les deux familles qu'il a choisies. Aussi méprisent-ils mon peuple qui n'est plus une nation pour eux. - Lire dans le contexte
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- Contre ton peuple, ils trament un complot, ils intriguent contre ton trésor.
- Ils se liguèrent tous ensemble pour venir attaquer Jérusalem et lui causer du dégât.
- Tu cèdes ton peuple sans bénéfices, et tu n'as rien gagné à le vendre.
- Pitié, SEIGNEUR, pitié ! car nous sommes saturés de mépris,
- Ils disent : « Dieu l'a abandonné ; traquez-le, attrapez-le, personne n'ira le délivrer ! »
- Je demande donc : Dieu aurait-il rejeté son peuple ? Certes non ! Car je suis moi-même Israélite, de la descendance d'Abraham, de la tribu de Benjamin.
- Je ferai d'eux une nation unique, dans le pays, dans les montagnes d'Israël ; un roi unique sera leur roi à tous ; ils ne formeront plus deux nations et ne seront plus divisés en deux royaumes.
- Ainsi parle le Seigneur DIEU : L'ennemi a dit de vous : “Ah ! Ah ! Ces hauteurs antiques sont devenues notre possession.”
- Parce que tu as dit : “Les deux nations et les deux pays seront à moi, nous en prendrons possession”, alors que le SEIGNEUR est là,
- « Fils d'homme, parce que Tyr a dit de Jérusalem : “Ah ! Ah ! Elle est brisée la porte des peuples ! A mon tour de me remplir, elle est ruinée ! ”
- Car le SEIGNEUR ne délaisse pas son peuple, il n'abandonne pas son patrimoine :
- « Gare ! un impur ! » crie-t-on pour eux. « Gare ! Gare ! ne touchez pas ! » Ils fuient, ils vagabondent, mais on dit chez les nations : « Ils ne peuvent plus être nos hôtes. »
- Ils applaudissent à tes dépens, tous les passants du chemin ; ils sifflent et hochent la tête aux dépens de la Belle Jérusalem : « Est-ce la Ville qu'on devrait dire beauté parfaite, réjouissance pour toute la terre ? »
- alors mon alliance avec mon serviteur David sera également rompue ; il n'aura plus de descendant régnant sur son trône. Il en sera de même pour mon alliance avec les prêtres lévitiques, mes ministres.
- Pour toi, je fais poindre la convalescence, je te guéris de tes blessures — oracle du SEIGNEUR —, parce qu'on te nomme : « Rebut, cette Sion dont personne ne se soucie. »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV