• A ce moment-là, on dira à ce peuple et à Jérusalem : Un vent embrasé sur les pistes, dans le désert, est en route vers mon peuple, non pour vanner, non pour nettoyer : - Lire dans le contexte

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  • Une fois plantée, pourra-t-elle prospérer ? Dès que le vent d'orient l'atteindra, ne va-t-elle pas se dessécher complètement ? Sur le terrain où elle devait pousser, elle séchera. »
  • Ephraïm a beau prospérer au milieu de ses frères, un vent d'est viendra, un vent du SEIGNEUR, montant du désert : la source tarira, la fontaine sera mise à sec — on dépouillera le trésor de tous les objets précieux.
  • Et la perversité de cette belle qu'est mon peuple est plus grande que la faute de Sodome, qui fut chavirée en un instant sans que des mains s'y soient démenées.
  • Même chez les chacals on donne à téter, on nourrit ses petits ; cette belle qu'est mon peuple devient aussi cruelle que les autruches de la steppe.
  • mes yeux ruissellent car mon peuple, cette belle, est brisé.
  • Mes yeux sont consumés de larmes ; mon ventre en est remué ; je suis vidé de ma force, elle est par terre, car mon peuple, cette belle, est brisé quand défaillent bambin et nourrisson sur les places de la Cité.
  • Ainsi parle le SEIGNEUR : Je vais susciter contre Babylone et contre les habitants du « coeur de mes adversaires » un vent destructeur.
  • La tempête du SEIGNEUR, la fureur éclate, un ouragan va foncer, il tourbillonne sur la tête des coupables.
  • La tempête du SEIGNEUR, la fureur éclate, un cyclone tourbillonne : il tourbillonne sur la tête des coupables.
  • Tu leur diras cette parole : Mes yeux fondent en larmes, nuit et jour, sans trêve : un grand désastre a brisé la vierge, mon peuple, un coup meurtrier.
  • Flèche meurtrière que sa langue ! Il profère la tromperie. Des lèvres, on offre la paix à son compagnon, mais dans le coeur , on lui prépare un guet-apens.
  • Que n'ai-je au désert un gîte de caravaniers ? J'abandonnerais mon peuple, je le planterais là : tous sont des adultères, un ramassis de traîtres.
  • On entend les appels désespérés de mon peuple depuis une terre lointaine. Dans Sion n'y a-t-il pas le SEIGNEUR ? Son roi n'est-il pas chez elle ? « Pourquoi m'offensent-ils avec leurs idoles, avec ces absurdités qui viennent d'ailleurs ? »
  • Nul n'en appelle à ton nom, nul ne se réveille pour t'en saisir, car tu nous as caché ton visage, tu as laissé notre perversité nous prendre en main pour faire de nous des dissolus.
  • tu les vanneras et le vent les emportera, le tourbillon les dispersera. Et toi tu exulteras à cause du SEIGNEUR, à cause du Saint d'Israël tu t'exalteras.

En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV