- Voici qu'il s'avance comme les nuées, ses chars sont comme l'ouragan, ses chevaux vont plus vite que des aigles. Malheur à nous ! Nous sommes perdus ! - Lire dans le contexte
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- Ses flèches sont aiguisées et tous ses arcs tendus, les sabots de ses chevaux, on dirait du rocher, et ses roues, un tourbillon.
- Ses chevaux sont plus rapides que panthères, plus mordants que loups du soir ; ses cavaliers bondissent, ses cavaliers arrivent de loin, ils volent comme l'aigle qui fond pour dévorer.
- Nos pourchasseurs étaient rapides plus que les aigles du ciel ; dans les montagnes ils nous traquaient, nous dressaient des embûches au désert.
- Car voici que Yahvé arrive dans le feu, et ses chars sont comme l'ouragan, pour assouvir avec ardeur sa colère et sa menace par des flammes de feu.
- Oracle sur l'Égypte. Voici que Yahvé, monté sur un nuage léger, vient en Égypte. Les faux dieux d'Égypte chancellent devant lui et le coeur de l'Égypte défaille en elle.
- Yahvé est lent à la colère, mais grand par sa puissance. L'impunité, jamais il ne l'accorde, Yahvé. Dans l'ouragan, dans la tempête il fait sa route, les nuées sont la poussière que soulèvent ses pas.
- Yahvé suscitera contre toi une nation lointaine, des extrémités de la terre ; comme l'aigle qui prend son essor. Ce sera une nation dont la langue te sera inconnue,
- Voici, il vient avec les nuées ; chacun le verra, même ceux qui l'ont transpercé, et sur lui se lamenteront toutes les races de la terre. Oui, Amen !
- Et alors apparaîtra dans le ciel le signe du Fils de l'homme ; et alors toutes les races de la terre se frapperont la poitrine ; et l'on verra le Fils de l'homme venant sur les nuées du ciel avec puissance et grande gloire.
- Oui, Yahvé rétablit la vigne de Jacob et la vigne d'Israël. Les pillards les avaient pillées, ils en avaient brisé les sarments.
- Embouche la trompette ! Comme un aigle, le malheur fond sur la maison de Yahvé. Car ils ont transgressé mon alliance et ont été infidèles à ma Loi.
- La première était pareille à un lion avec des ailes d'aigle. Tandis que je la regardais, ses ailes lui furent arrachées, elle fut soulevée de terre et dressée sur ses pattes comme un homme, et un coeur d'homme lui fut donné.
- - « Malheur à moi ! Quelle blessure ! Ma plaie est inguérissable. Et moi qui disais ce n'est que cela ma souffrance ? Je la supporterai !
- Oui, j'entends les cris comme d'une femme en travail, c'est comme l'angoisse de celle qui accouche ; ce sont les cris de la fille de Sion qui s'essouffle et qui tend les mains : « Malheur à moi, je succombe sous les coups des meurtriers ! »
- Ils viennent d'un pays lointain, des extrémités du ciel, Yahvé et les instruments de sa colère, pour ravager tout le pays.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV