- Hélas, épée de Yahvé, jusques à quand seras-tu sans repos ? Rentre en ton fourreau, arrête, calme-toi ! - Lire dans le contexte
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- Tu diras à la forêt du Négeb : Écoute la parole de Yahvé. Ainsi parle le Seigneur Yahvé. Voici que je vais allumer en toi un feu pour y consommer tout arbre vert et tout arbre sec ; c'est une flambée qui ne s'éteindra pas et tous les visages en seront brûlés, depuis le Négeb jusqu'au Nord.
- Sur tous les monts chauves du désert sont arrivés des dévastateurs car Yahvé tient une épée dévorante d'un bout du pays jusqu'à l'autre il n'y a de paix pour aucune chair.
- Jésus dit à Pierre : « Rentre le glaive dans le fourreau. La coupe que m'a donnée le Père, ne la boirai-je pas ? »
- Quant à toi, vil criminel, prince d'Israël dont le jour approche avec le dernier des crimes,
- Si je faisais venir l'épée contre ce pays, si je disais : « Que l'épée passe dans ce pays et j'en frapperai bêtes et gens »,
- Tu fus un marteau à mon usage, une arme de guerre. Avec toi j'ai martelé des nations, avec toi j'ai détruit des royaumes,
- Tu leur diras : Ainsi parle Yahvé Sabaot, le Dieu d'Israël : Buvez ! Enivrez-vous ! Vomissez ! Tombez sans pouvoir vous relever, devant l'épée que je vais envoyer au milieu de vous.
- Je vais préposer sur eux quatre sortes de choses - oracle de Yahvé : l'épée pour tuer ; les chiens pour traîner ; les oiseaux du ciel et les bêtes de la terre pour dévorer et détruire.
- Jusques à quand le pays sera-t-il en deuil et l'herbe de toute la campagne desséchée ? C'est par la perversité de ses habitants que périssent bêtes et oiseaux. Car ils disent Dieu ne voit pas notre destinée.
- Jusques à quand verrai-je le signal, entendrai-je l'appel du cor ?
- Fanfaronne-t-elle, la hache, contre celui qui la brandit ? Se glorifie-t-elle, la scie, aux dépens de celui qui la manie ? Comme si le bâton faisait mouvoir ceux qui le lèvent, comme si le gourdin levait ce qui n'est pas de bois !
- Malheur à Assur, férule de ma colère ; c'est un bâton dans leurs mains que ma fureur.
- Lève-toi, Yahvé, affronte-le, renverse-le, par ton épée délivre mon âme de l'impie,
- et il ordonna à l'ange de remettre l'épée au fourreau.
- Abner appela Joab et dit : « L'épée dévorera-t-elle toujours ? Ne sais-tu pas que cela finira dans l'amertume ? Qu'attends-tu pour ordonner à ces gens d'abandonner la poursuite de leurs frères ? »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV